Sivous recherchez une solution simple, intuitive et pratique pour gérer une liste de tâches pour vos projets en équipe, Quire est un outil qui mérite un test grandeur nature. Conçu pour les petites équipes, Quire permet à vos équipiers de rester concentrés sur leur travail en identifiant facilement les tâches sur lesquelles ils doivent se centrer et en bloquant celles qui ne sont Jene pense pas que l'assassin soit encore en vie, mais ça n'engage que moi. "Je suis un enquêteur. J'essaye de m'appuyer sur des faits. Avant d'avoir une conviction, on fait des déductions et on arrive à des conclusions. Moi, je m'appuie sur ce que la justice a déterminé. Je sais que la singularité des faits dans cette affaire Grégory Cest parfois dans les collines verdoyantes et idylliques que se terrent les plus terrifiantes menaces. C'est là aussi que va se dérouler cette vibrante épopée de courage, de loyauté et de survie. Menés par le valeureux Hazel, une poignée de braves choisit de fuir l'inéluctable destruction Genres : Aventure | Fantasy. Editions Monsieur Toussaint Louverture (2020) Julie Retrouveztous les cours particuliers à Villaines‑La‑Juhel. Contact gratuit avec nos professeurs particuliers pour des cours à domicile ou chez le prof. Se connecter Inscription gratuite. France Français EUR. Page d'accueil; Comment pouvons-nous vous aider ? Donner des Cours; Donner des Cours . Lieu Villaines-la-Juhel. Âge de l'étudiant Âge de l'étudiant. Prix Prix. Filtres Plus de Bonjour Je suis actuellement en train de lire un ouvrage et la phrase suivante me perturbe un peu: « Ce sont parfois des textes que m’ont confiés les tueurs eux-mêmes ». À l’oreille et à l’écrit, cela me semble tout à fait correct et je connais également la règle qui veut que l’on accorde le verbe si le COD est placé avant le verbe « avoir ». HONDELATTERACONTE - En 2008, le meurtre d’une employée de la Poste vient troubler la tranquillité de la petite ville de Montréal-la-Cluse, dans l’Ain. Le journaliste Christophe Hondelatte . Bien souvent, et malheureusement quand on a un travail à faire, il nous arrive de trouver toute sorte de belles excuses pour nous éviter l’effort que cela nous demande. Même si on ne se l’avoue pas, la paresse n’est généralement pas bien loin. Elle tire même les ficelles derrière toutes nos excuses. Si Dieu en personne a travaillé, ni toi ni moi ne pourrons y échapper. Proverbes 12 27 LSG Le paresseux ne rôtit pas son gibier; mais le précieux trésor d’un homme, c’est l’activité. » L’activité est un précieux trésor que le Seigneur nous a donné. Quand on passe des journées à ne rien faire, à moins qu’on ait besoin de repos, cela ne nous fait absolument pas de bien. On est oisif, dispersé, pas épanoui et par dessus-tout, on n’est pas heureux. Les personnes qui sont à la retraite peuvent témoigner de combien lourd cela peut être, quand tu n’as absolument rien à faire, aucun objectif à atteindre. Tout cela pour dire que lorsque tu as la possibilité d’effectuer une activité, dans le cadre de ton emploi, à l’église, dans une association, en famille, quel que soit le travail qu’on te confie, tu as entre tes mains une précieuse opportunité d’être heureux. Alors vaut mieux éviter de se donner toutes sortes d’excuses. Voyons quelques-unes d’entre elles. J’ai le temps, je le ferai plus tard! Tu peux végéter dans l’oisiveté, des journées entières, et ne pas travailler le moins du monde, parce que tu estimes que tu as le temps. Et à force de remettre à plus tard un travail à faire aujourd’hui, tu peux te retrouver à la limite du délai imparti, et ne plus pouvoir le finir à temps, ou même ne plus le faire carrément. Si tu as beaucoup de temps pour faire un travail, pourquoi ne pas en profiter pour le faire bien, et ainsi pouvoir le finir même avant le temps ? En remettant à demain, sais-tu ce que l’avenir te réserve ? Il ne faut pas se laisser tromper par le temps qui nous semble disponible pour ne pas commencer à travailler aujourd’hui. La Bible nous encourage à racheter le temps car nous vivons des jours mauvais. Si Dieu met du temps à ta disposition, ce n’est pas pour paresser et te laisser aller. Fais ce que tu as à faire dès que tu peux, et s’il te reste du temps, occupe-toi d’autre chose ! Ephésiens 5 16 LSG rachetez le temps, car les jours sont mauvais. » Quelqu’un d’autre le fera! Généralement, on se donne cette excuse quand on travaille en groupe. Au lieu de faire notre part du travail et de respecter ainsi nos engagements, on se dit que de toutes façons, les autres feront notre part aussi, pour que tout le groupe n’en pâtisse pas. C’est une mauvaise attitude qui ne peut en aucun cas nous faire progresser. Ce qu’on oublie, c’est que si tous les autres adoptaient cette attitude, finalement, le travail ne sera fait par personne ! Et il ne faut pas oublier non plus qu’il y a des bénédictions dans le travail que nous faisons. Dieu bénit l’œuvre de nos mains; alors si tu laisses les autres faire ton travail à ta place, sois conscient de ce que tu leur cèdes par la même occasion, toutes tes bénédictions liées à cette tâche. Tu ne pourras pas profiter des résultats d’un travail que tu n’as pas fait. Dieu n’est pas injuste ! Psaumes 128 2 BDS Tu tireras profit du travail de tes mains, tout ira bien pour toi et tu seras heureux. » Dieu me pardonnera! Voici une excuse qu’on rencontre souvent parmi les chrétiens quant à leur engagement dans l’œuvre de Dieu. Oui Dieu pardonne; Il est bon et miséricordieux… Ainsi s’Il te confie un travail et que tu ne fais pas, si tu te repens sincèrement devant Lui, Il te pardonnera. Mais, si tu décides délibérément de ne pas le faire, pour après Lui demander pardon, et que tu t’habitues à cette attitude, tu t’engages sur un chemin glissant. La Bible dit qu’on ne se moque pas de Dieu. De plus, Dieu peut susciter quelqu’un d’autre pour te remplacer avant même que tu ne t’en rendes compte, surtout si tu t’amuses à fouler au pied les talents ou les dons qu’Il t’a donnés pour l’avancement de Son œuvre. Il vaut donc mieux pour toi de te mettre au travail au plus tôt ! Galates 6 7 LSG Ne vous y trompez pas on ne se moque pas de Dieu. Ce qu’un homme aura semé, il le moissonnera aussi. » Je ne suis pas à la hauteur! Se croire faible devant un travail n’est pas une raison pour le fuir ou le délaisser. Tant que celui-ci t’est confié, et que tu es dans la volonté de Dieu, il te revient de te donner les moyens de réussir. Si tu n’as pas les bonnes informations, cherche-les ! Forme-toi, lis des livres, exerce-toi, fais tout ce que tu peux, mais travaille ! C’est une illusion de penser que tu te sentiras toujours à la hauteur des activités que tu feras. Il arrivera toujours dans la vie des moments où tu te retrouveras face à un travail qui te dépasse réellement. Mais il faudra plutôt le voir comme une occasion de progresser. Relève le défi et demande l’aide de Dieu. Tu pourras même essuyer quelques échecs et des remontrances, mais n’abandonne pas. Si tu es résolu, et que tu travailles à fond jusqu’au bout, et sous la conduite du Saint-Esprit, certainement tu réussiras ! Job 22 28 LSG A tes résolutions répondra le succès; sur tes sentiers brillera la lumière. » Ce n’est pas grave après tout! Il faut sortir de cette conception où rien n’est important dans la vie. Si tu négliges ton travail au boulot et qu’on te renvoie, ce n’est pas grave. Si tu rates cet examen parce que tu n’as pas bossé tes cours, ce n’est pas grave. Si tu te construis une réputation de celui qui ne tient jamais parole, parce tu livres toujours tes commandes en retard, ce n’est pas grave. Si tu écris toujours tes mails avec une cinquantaine de fautes, ce n’est toujours pas grave. Il faut sortir de là !!! Dieu n’aime pas la médiocrité; Dieu n’aime pas la paresse. Nous sommes sur la terre, chacun pour un but précis. Quand vas-tu atteindre le tien dans le travail ? Est-ce que le travail bien fait est facultatif pour toi ? Quelle est ta vision de la vie ? Nous devons être des personnes travailleuses. Et par-dessus tout des personnes excellentes ! Dieu fait toutes choses belles et parfaites. Et tu dois Lui ressembler !!! Il faut que les gens voient ton travail et disent Waouh, c’est vraiment bien ! Marc 7 37 PDV 2017 Ils sont profondément étonnés et ils disent Tout ce qu’il fait est vraiment bien ! … » MARIE-HÉLÈNE 50 ans, mère de quatre enfants de 10 à 20 ans Celui qui rentrele premier préparele dîner, l’autre range » Chez nous, il n’y a pas de règle établie en matière de ménage. Nous avons confié aux deux aînées, lorsqu’elles ont eu 12 et 14 ans, la tâche de gérer le déjeuner pour elles et leur petite sœur deux ou trois fois par semaine. Ce qui leur permettait d’éviter la cantine et de rentrer à la maison. De la même façon, comme il nous arrive de rentrer tard le soir, nous leur demandons de préparer le dîner pour les plus jeunes et de les coucher. Si besoin, elles vident le lave-vaisselle et le dernière, prises par leurs études, elles ont été moins sollicitées. En général, la mise en place du couvert et le chargement du lave-vaisselle se font en famille. La petite dernière est celle qui aide le moins, au grand dam des plus grands qui trouvent cela injuste. Mais il est difficile d’évoluer à six dans la cuisine. Entre mon mari et moi, les tâches me semblent réparties équitablement, selon nos affinités. Il fait les courses, je m’occupe du linge. Celui qui rentre le premier le soir prépare le range la cuisine après le repas. Deux fois par semaine, une femme de ménage vient nettoyer la maison et faire le repassage. C’est une chance de pouvoir déléguer les tâches qui nous cassent les pieds. Le désordre de mes deux grandes filles me pèse parfois. Mais je me raisonne il y a du bazar parce que les enfants vivent là. Et je préfère cela plutôt qu’elles habitent ailleurs. J’essaye de relativiser l’importance du rangement afin de donner la priorité au temps passé en famille. »FRANÇOISs 50 ans, le mari de Marie-Hélène Mon rayon,c’est les courses » Mon épouse et moi avons vécu dix ans en célibataires avant de nous rencontrer. Nous étions donc formés à gérer la vie quotidienne. Marie-Hélène en fait plus que moi, mais elle préfère effectuer elle-même certaines tâches, comme sortir les habits des enfants. Je peux charger la machine, mais le tri des vêtements n’est pas mon fort. Mon rayon, c’est les sors aussi les poubelles, car j’ai plaisir à faire un petit tour dehors le soir. Par contre je râle un peu de devoir aussi les rentrer le lendemain matin. Je suis moins exigeant sur la propreté et le rangement que mon épouse. Ils sont parfois pour elle, au retour du travail, une source d’énervement ou de tension avec les enfants. Avec eux, je renonce vite et trouve plus facile de faire les choses moi-même. J’ai conscience de ne pas assez les éduquer à participer. Sans doute parce que, lorsque j’étais petit, ma propre mère ne me demandait rien ! »DELPHINE 47 ans, mère de deux adolescentes Il mélange les couleurs mais accroche mieux le linge que moi » Je fais à manger. Il débarrasse la table, range et charge le lave-vaisselle. La répartition s’est faite naturellement, selon les compétences de chacun. Par contre le linge peut être une source de tension. Je n’aime pas voir mon mari faire une lessive. Il mélange les couleurs. Mais il accroche mieux le linge que moi. Chez nous, il n’y a pas de rituel ou de jours définis à l’ tâches de chacun évoluent en fonction de nos périodes d’activité orsqu’il est à la maison, il s’implique dans la tenue de la maison sans rechigner. Il fait les courses de base, passe l’aspirateur, nettoie la salle de bains. Je me réserve les tâches occasionnelles comme nettoyer le frigo, un placard, acheter des fruits. Mon mari prend sa part de j’aimerais que les rôles soient mieux répartis, sans qu’il soit nécessaire de demander. Nous n’avons pas la même manière de faire. Je suis plus perfectionniste. Mes filles participent à hauteur du minimum syndical. On leur demande de ranger leur chambre et de passer l’aspirateur. L’an dernier, on rémunérait l’aînée pour le repassage des chemises. Lorsque je rentre fatiguée d’une journée de travail, je supporte moins le désordre. Se disputer à cause du ménage, c’est un tue-l’amour. » Dans le cadre mon travail, je suis souvent appelé à gérer et réaliser différents projets. Parfois, il s’agit de petits ou moyens projets à court terme. D’autres fois, ce sont de gros projets qui s’échelonnent pendant des mois. Les gros projets demandent une organisation monstre. Car il y a tellement de choses à faire, d’étapes à suivre et de choses à planifier qu’il faut avoir une certaine méthode pour être en mesure de bien piloter le tout. Au cours des dernières années, j’ai eu trois projets de ce genre à gérer La création de ma plateforme en ligneL’écriture d’un livreLa création d’un programme de formation en ligneGrâce à ces expériences, j’ai pu développer ma propre méthode de gestion de projet que j’aimerais vous présenter dans cet article. Bien entendu, ce n'est pas une méthodologie de gestion de projet officielle enseignée dans les grandes institutions. Mais on peut dire que c’est la méthode qui m’a permis d’organiser, gérer et réaliser tous les gros projets dans lesquels je me suis lancé durant les dernières années. Voici donc les grandes étapes de ma méthode, ainsi qu’un aperçu de comment vous pouvez l’appliquer. 1- Choisir un outil de gestion de projetLa première étape est de se choisir un bon outil de gestion de projet. Par outil de gestion de projet, je ne veux pas nécessairement parler d’outils complexes que les gestionnaires de projets professionnels utilisent, du genre un diagramme de Gantt…Je parle simplement d’un outil permettant d’organiser toutes les tâches liées à votre projet au même endroit. Autrement dit, ça vous prend un outil pour organiser votre plan de projet que nous allons élaborer à l’étape suivante. Des outils de gestion de projet, il y en a des tonnes. Je pourrais vous conseiller…► Trello► Asana► Monday► Todoist► Et plusieurs autresOu vous pouvez y aller avec quelque chose de très simple comme un Google Docs ou un dossier Evernote. Pour ma part, j’ai choisi d’y aller avec une simple note Evernote pour faire mes plans de vais vous montrer comment je l’utilise plus loin dans l’article. 2- Élaborer un plan de projetDu moment que vous avez choisi un outil, vous pouvez vous lancer dans l’organisation du projet. Pour ce faire, je vous conseille d’élaborer un plan de projet qui va contenir toutes les tâches que vous devez faire pour atteindre votre objectif. C’est là que votre outil va être utile. Plutôt que d’organiser votre projet sur un bout de papier ou autre système inefficace, vous allez pouvoir utiliser votre outil pour répertorier l’ensemble des tâches à faire pour venir à bout de votre ce plan que vous aurez élaboré deviendra votre guide de référence tout au long du processus d’exécution. Par où commencer pour la planification du projet? Voici les grandes lignes. A Définir le résultat final souhaitéCommencez premièrement par clarifier le résultat que vous souhaitez atteindre. En d’autres mots, comment allez-vous savoir que le projet est terminé?Le fait de clarifier le but de votre projet vous aidera à savoir ce que vous cherchez à accomplir plus précisément. Si je prends l’exemple de mon projet de création de cours en ligne, j’avais défini que le résultat final souhaité était de Créer et publier un cours en ligne sur la gestion du temps ». Je savais donc que pour terminer mon projet, je devais faire tout ce qui est nécessaire pour CRÉER le cours, et ensuite, le PUBLIER. Le projet ne serait pas terminé tant que le cours ne serait pas fini d’être créé, et tant et aussi longtemps qu’il ne serait pas mis en vente. Demandez-vous quel est le résultat final que je souhaite atteindre à la fin de mon projet »? B Identifier toutes les tâches à réaliser pour atteindre le résultat viséEnsuite, posez-vous les questions Que dois-je faire concrètement pour atteindre le résultat final souhaité » et/ou Quelles sont les tâches nécessaires et les grandes étapes que je dois suivre pour terminer mon projet »?C’est là que vous commencerez à écrire toutes les tâches qui vous passent par la tête et que le projet prendra forme. Par exemple, si votre projet est de sortir un livre, voici le genre de tâches que vous auriez à écrire dans votre plan Déterminer le titre du livreDéterminer la table des matièresRédiger le brouillon du chapitre 1Mettre au propre le brouillon du chapitre 1Dessiner la page couverture du livreEtc. Vous écrivez systématiquement toutes les choses à faire qui vous viennent en tête. Voici une image des tâches/étapes que j’avais écrites dans mon plan de projet pour mon cours en ligne Vous voyez bien qu’à ce moment, tout est pêle-mêle. J’ai simplement fait un brain dump » de tout ce que je pensais devoir faire pour atteindre mon objectif. À cette étape, rien n’était encore organisé, ni même priorisé. Mais au moins, cette étape me permettait de voir clair par rapport à mon projet et de savoir l’ampleur qu’il allait prendre. Plus il y a d’étapes et de tâches à faire, plus le projet est gros et long… C Prioriser les grandes étapes du projetDans un projet, on ne peut jamais faire toutes les tâches en même temps. Il y a toujours un certain ordonnancement, c’est-à-dire, certaines étapes qui doivent être faites en premier, avant de pouvoir faire les autres. Alors la dernière étape de votre plan de projet est de définir un ordre de priorité. Que devez-vous faire en premier, en deuxième et ainsi de suite?Si je reprends mon exemple de projet de cours en ligne, j’ai réalisé que je devais premièrement terminer la création du contenu, avant de me lancer dans l’enregistrement des je devais également terminer la page de vente du programme avant de me lancer dans le marketing et la promotion. Mon plan de projet ordonnancé ressemblait à ceci Vous voyez que c’est beaucoup plus clair ainsi, n’est-ce pas?Déterminez l’ordre des étapes que vous devez réaliser. Ce sera votre plan à suivre pour exécuter votre projet plus facilement. 3- Planifier chaque semaine les tâches à faire réaliser le projetUne fois le plan de projet terminé, vous êtes prêt à commencer à travailler!C’est alors que la planification hebdomadaire entre en jeu. La meilleure façon de progresser rapidement sur votre projet, c’est de planifier du temps chaque semaine pour effectuer les tâches que vous devez faire. Personnellement, je prends du temps à chaque début de semaine pour consulter mon plan de projet et définir les tâches que je vais effectuer dans la semaine à venir. J’ouvre alors mon plan de projet et je définis les étapes importantes sur lesquelles je dois travailler dans les prochains jours Puis, je consulte mon agenda …Et je bloque quelques plages horaires qui seront dédiées à mon projet Je détermine clairement mes priorités de la semaine en les affichant dans le haut de mon agenda J’utilise la méthode de la semaine axée sur les résultats pour être plus productif. Vous pouvez lire cet article pour en savoir plus sur le sujet. La clé, c’est de commencer chaque semaine avec une idée bien précise des tâches que vous allez effectuer pour avancer sur votre Pour apprendre à bien organiser et planifier vos semaines, je vous recommande de suivre ma formation Maitriser et optimiser son temps. J’aborde ce sujet en profondeur. 🔥4- Exécuter les tâches liées au projetLa prochaine étape, vous l’aurez deviné, consiste à exécuter les tâches que vous avez planifiées à l’étape précédente. Tout se joue ici, au niveau de l’exécution…Si vous faites un planning, mais que vous ne l’exécutez pas, vous ne terminerez jamais votre projet ou ce sera bien plus long que prévu. Mais si vous êtes en mesure de respecter les blocs de temps que vous avez définis, et de compléter les tâches que vous avez dit que vous feriez, alors vous progresserez rapidement sur votre projet. Alors chaque semaine, faites tout le nécessaire pour respecter votre plan et protéger les plages horaires dédiées à votre projet que vous avez planifié. Vous allez voir que tout cherchera toujours à vous éloigner de votre plan…Les demandesLes distractionsLa procrastinationLa fatigueLes urgencesEtc. À moins de développer votre focus », vous aurez du mal à exécuter vos tâches. Pour ne pas m’étendre dans cet article, je vous conseille encore une fois de jeter un coup d’œil à ma formation Maitriser et optimiser son temps. Il y a tout un module réservé au fait de bien exécuter son planning. 5- Mettre à jour le projet et évaluer la progressionÀ la fin de chaque semaine, il est important que vous preniez quelques minutes pour faire le point sur votre projet et évaluer votre dit, vous voulez faire un tour d’horizon chaque semaine afin de voir si vous avez réussi à exécuter les tâches que vous vouliez faire, et si vous êtes rendu là où vous voudriez être avec le projet. Personnellement, je fais cet exercice au moment de ma planification de la semaine. En fait, je fais les étapes 3 et 5 au même moment.► Je me bloque environ 1h avant le début de la semaine, et je commence par me mettre à jour sur le projet étape 5.► Je révise alors mon plan de projet et regarde si j’ai bien progressé la semaine précédente.► Ensuite, je regarde à la semaine à venir et je détermine les étapes auxquelles je dois m’attarder dans les prochains jours étape 3. Cette étape est importante, simplement pour garder un contrôle sur votre projet et vous assurer que vous respectez les délais fixés. Par exemple, si dans votre évaluation, vous réalisez que vous êtes à 2 semaines de la date d’échéance et que vous n’êtes qu’à 60% du projet, vous savez que vous devrez en faire une priorité pour les 2 prochaines semaines. L’étape de la révision et du contrôle est ce qui vous permet de garder le cap et de piloter votre projet efficacement. ConclusionOn pourrait résumer ma méthode de gestion de projet comme un fois que le plan est élaboré dans l’outil de gestion de projet Trello, Evernote, Asana, etc., il ne suffit que de suivre 3 étapes systématiques Planifier les tâches du projet à faire dans la semaine à venirExécuter les tâches en question tout au long de la semaineFaire le point sur son projet, et planifier la prochaine semaine…Et ce, jusqu’à ce que le projet soit terminé. Si vous faites ça chaque semaine de façon disciplinée, vous réaliserez tous vos projets rapidement!C’est la méthode que j’ai utilisée pour réussir à lancer ma plateforme web, écrire mon livre et créer un cours en ligne. Essayez-la et vous verrez que gérer un projet n’est pas si compliqué que cela. COMMENT FAITES-VOUS POUR ORGANISER ET GÉRER VOS PROJETS? LAISSEZ UN COMMENTAIRE 👇 QUE ressens-​tu quand tu reçois une lettre d’un ami que tu aimes beaucoup ? Un jour, le disciple Timothée a reçu une lettre très encourageante de l’apôtre Paul. Elle fait aujourd’hui partie de la Bible et est appelée 2 Timothée. Timothée a sans doute eu hâte de trouver un endroit tranquille où il pourrait découvrir ce que son ami avait à lui dire. Peut-être qu’il s’est demandé Comment va Paul ? Va-​t-​il me donner des conseils sur la façon d’accomplir ma mission ? Va-​t-​il m’expliquer comment je peux devenir un meilleur prédicateur et mieux aider les autres ? » Comme nous le verrons, Timothée a trouvé la réponse à ces questions et, en plus, il a appris beaucoup d’autres choses très importantes. Dans cet article, nous examinerons quelques-uns des conseils que cette lettre contient. JE CONTINUE DE TOUT ENDURER » Quand Timothée a commencé à lire la lettre de Paul, il a immédiatement ressenti toute l’affection qu’il avait pour lui. En effet, Paul s’adresse à lui en l’appelant mon enfant bien-aimé » 2 Tim. 12. Timothée avait probablement la trentaine quand il a reçu cette lettre, vers 65 de notre ère, mais c’était déjà un ancien expérimenté. Cela faisait plus de dix ans qu’il collaborait avec Paul, et il avait beaucoup appris de lui. Timothée a dû être très encouragé de voir que Paul continuait d’endurer avec fidélité. Paul était prisonnier à Rome et il savait qu’il allait bientôt être mis à mort 2 Tim. 115, 16 ; 46-8. Mais il a écrit Je continue de tout endurer » 2 Tim. 28-13. Timothée a donc pu constater que son ami restait courageux. Le bel exemple d’endurance de Paul peut nous fortifier, comme il a fortifié Timothée. RANIME COMME UN FEU LE DON DE DIEU » Paul a encouragé Timothée à accorder une grande valeur à son service pour Dieu. Il voulait qu’il ranime comme un feu le don de Dieu’ qui était en lui 2 Tim. 16. Le mot grec rendu ici par don » est le mot kharisma. Il désigne un don fait avec générosité et qui n’est pas mérité. Timothée avait reçu ce don quand il avait été choisi pour accomplir un service spécial dans l’assemblée 1 Tim. 414. Comment pouvait-​il entretenir ce don ? En lisant l’expression ranimer comme un feu », il a peut-être réfléchi au fait qu’un feu de bois peut finir par devenir de simples braises. Ces braises doivent alors être attisées pour produire des flammes et plus de chaleur. Un dictionnaire explique que le verbe grec anazopyreo que Paul utilise ici signifie ranimer, aviver, attiser ». Dans un contexte figuré, il peut donc vouloir dire redonner du zèle, de la motivation ». En d’autres termes, Paul conseillait à Timothée de prendre à cœur les tâches qui lui avaient été confiées. Ce conseil s’applique à nous également. Nous devons nous dépenser avec zèle dans notre service pour Dieu. GARDE CE BEAU DÉPÔT » En continuant à lire la lettre de son ami, Timothée a découvert un autre conseil qui l’aiderait à obtenir de bons résultats dans son ministère. Paul avait écrit Garde ce beau dépôt avec l’aide de l’esprit saint qui habite en nous » 2 Tim. 114. Quel était ce dépôt qui avait été confié à Timothée ? Dans le verset précédent, Paul parlait des saines paroles », c’est-à-dire de la vérité contenue dans les Écritures 2 Tim. 113. Comme il était ministre de Dieu, Timothée devait enseigner les vérités de la Parole de Dieu aussi bien à l’intérieur qu’à l’extérieur de l’assemblée 2 Tim. 41-5. De plus, comme il était ancien, il devait prendre soin du troupeau de Dieu 1 Pierre 52. Il garderait le dépôt qui lui avait été confié, autrement dit les vérités qu’il devait enseigner, en comptant sur l’esprit de Jéhovah et en se basant sur sa Parole 2 Tim. 314-17. Nous aussi, nous nous sommes vu confier un beau dépôt les vérités bibliques que nous faisons connaître en prédication Mat. 2819, 20. Nous pouvons continuer d’accorder de la valeur à ce dépôt en persévérant dans la prière et en étudiant régulièrement la Parole de Dieu Rom. 1211, 12 ; 1 Tim. 413, 15, 16. De plus, peut-être que nous sommes anciens ou dans le service spécial à plein temps. Dans ce cas, ce dépôt qui nous a été confié devrait nous rendre humbles et nous inciter à compter entièrement sur Dieu. Nous pouvons donc garder, ou protéger, notre dépôt en le considérant comme précieux et en recherchant l’aide de Jéhovah quand nous nous acquittons de nos responsabilités. CES CHOSES, CONFIE-​LES À DES HOMMES FIDÈLES » Timothée avait notamment pour responsabilité de former les autres. C’est pourquoi Paul lui avait écrit Les choses que tu as entendues de moi [...], confie-​les à des hommes fidèles qui, à leur tour, seront qualifiés pour enseigner les autres » 2 Tim. 22. Timothée devait apprendre de ses frères et leur communiquer ce qu’il avait lui-​même appris. C’est également ce que doit s’efforcer de faire chaque ancien aujourd’hui. Un bon ancien ne garde pas jalousement pour lui des informations qui pourraient être utiles à d’autres il leur explique clairement comment accomplir une tâche pour qu’ils soient eux-​mêmes en mesure de l’effectuer. Il ne se dit pas qu’ils risquent de lui faire de l’ombre en sachant plus de choses que lui ou en s’y prenant mieux que lui. Il ne se contentera donc pas de leur transmettre un minimum d’informations. Son objectif est d’aider ceux qu’il forme à acquérir du bon sens et du discernement, autrement dit à devenir des chrétiens mûrs. Ainsi, les hommes fidèles » qu’il aura enseignés seront encore plus utiles à l’assemblée. Timothée a sans doute accordé une grande valeur à cette lettre de son ami Paul. On peut facilement l’imaginer en train de la lire et de la relire, de réfléchir aux conseils précieux qu’elle contenait et à la façon de les appliquer au mieux. Nous voulons nous aussi appliquer ces conseils. Comment faire ? Efforçons-​nous de ranimer comme un feu le don de Dieu qui est en nous, de garder le dépôt qui nous a été confié et de former les autres en leur transmettant tout ce que nous savons sur une tâche à accomplir. De cette façon, comme Paul a encouragé Timothée à le faire, nous accomplirons pleinement notre ministère’ 2 Tim. 45. Elles sont nombreuses, pendant la saison sèche, à quitter leurs villages respectifs pour venir à Bamako, à la recherche de quoi subvenir à leurs besoins et à ceux de leurs familles. Elles sont âgées de 11 à 18 ans ou plus. Certaines aides ménagères travaillent dans des conditions difficiles et pour des salaires insignifiants. La plupart d’entre elles sont victimes de violences physique, verbale et sexuelle de la part de leurs employeurs. Cependant, d’autres sont dans de bonnes conditions et sont bien traitées par leurs patronnes. Les larmes aux yeux, Mariam, âgée de 16 ans, dit avoir été victime de maltraitance de la part de sa patronne. Ma patronne me fait subir toute sorte de violence physique que j’endurais pour un salaire dérisoire. Mais j’ai réussi à m’enfuir en abandonnant mon salaire chez la dame», dit-elle. C’est aussi le cas de Awa Coulibaly, qui se lève tous les jours à 6 heures du matin et se couche vers 23heures. Quand je me lève le matin, la première des choses que je fais, c’est allumer le feu pour préparer le petit déjeuner. Ensuite, je balaie la cour, fais la vaisselle. Je dois aussi laver la voiture du patron avant qu’il ne parte au travail. Puis, je nettoie le salon et l’arrange. Tout cela doit se faire avant 9 heures, car c’est à cette heure-là que la patronne va au travail. A la descente, je dois partir chercher les enfants à l’école, et bien avant ça, je dois tout faire pour finir de préparer. Et gare à moi si la patronne vient trouver que je n’ai pas fini une seule de mes tâches. Elle me couvre de toutes sortes d’injures. Franchement, je n’en peux plus », a-t-elle martelé. Wassa, dans la quinzaine d’âge, a été victime de violence physique. Je travaillais dans une famille aisée à Sébénikoro. Au début, tout allait bien avec ma patronne. Plus le temps passait, plus son comportement envers moi changeait, jusqu’au jour où elle m’a battue à sang, car j’ai fait tomber un verre sans faire exprès et elle l’a coupé de mon salaire», dit-elle. Une jeune femme sous anonymat nous confie qu’à l’âge de 14 ans, elle subissait des agressions sexuelles de la part du mari de sa patronne quand celle-ci s’absentait. Il m’a fait croire que si je ne me laissais pas faire, il va me renvoyer et dire à sa femme que je suis une voleuse. Prise de peur, je me suis laissé faire jusqu’à ce que je quitte leur maison», déplore-t-elle. Ma patronne s’est enfuie avec mon salaire. J’ai dû appeler ma mère au village qui m’a envoyé un peu d’argent. Dieu voit tout », déclare Aminata qui vit chez sa sœur en ce moment. Sous anonymat, une fille bobo », qui a échappé à une tentative de viol de la part de l’époux de sa patronne depuis 2018, dit s’être souvenu de l’incident comme si c’était hier. Mon violeur a d’abord attendu que son épouse se rende au travail, avant de me sauter dessus. Il m’a embrassée dans le cou et a commencé à me toucher le corps. Je l’ai repoussé et je me suis échappée », indique-t-elle. Kany, aide-ménagère, dit qu’elle n’a pas toujours eu son salaire pour rentrer au village pour les travaux champêtres. Les travaux champêtres ont déjà commencé au village. Toutes mes sœurs sont rentées. Mais, moi, je ne peux pas, car je n’ai pas encore mon argent. Partir faire ces travaux est une tradition chez nous. Ma patronne me dit d’attendre octobre pour me payer », dit-elle en larme, la tête baissée devant un tas d’assiettes. Rokia, aide ménagère dans le quartier Mamaribougou, témoigne qu’elle ne mange pas à sa faim, pis, elle n’est pas payée régulièrement par sa patronne. Je fais des travaux ménagers qui sont au dessus de mes capacités physiques. Je me lève tôt et me couche après tout le monde», déclare-t-elle. Cependant, toutes les aides ménagères ne sont pas confrontées à des situations difficiles. Certaines travaillent dans de bonnes conditions. C’est le cas de Oumou, aide ménagère depuis 6 ans. Elle affirme que celle qui l’emploie est une dame très gentille et régulière dans les paiements mensuels. Depuis mon arrivée dans la famille, je me sens comme chez moi, je suis très à l’aise. On se comprend très bien», a-t-elle dit. D’autres viennent en ville pour apprendre des choses avec leurs employeurs, comme c’est le cas d’Adja qui affirme avoir tout appris avec sa patronne qui était très gentille. J’exprime toute ma gratitude à ma patronne, c’est elle qui m’a tout appris. Cette profession m’a permise d’apprendre des choses que j’ignorais au village», conclut-elle. MARIE Dembélé, stagiaire Source Le Républicain

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