Sivous avez atterri sur cette page Web, vous avez certainement besoin d'aide avec le jeu CodyCross. Notre site Web est le meilleur qui vous offre CodyCross Soutiennent une maison construite sur l'eau rĂ©ponses et quelques informations supplĂ©mentaires comme des solutions et des astuces. Utilisez simplement cette page et vous passerez rapidement le niveau que vous Lacheck-list des points Ă  vĂ©rifier pour rĂ©ceptionner une maison neuve. 1 VĂ©rifiez que l'installation Ă©lectrique est correctement dimensionnĂ©e en allumant toutes les lumiĂšres. 2 Examinez l’isolation phonique de chaque piĂšce en comparant avec les portes et les fenĂȘtres fermĂ©es ou ouvertes. 3 Les façades : regardez l’aspect soutiennentune maison construite sur l'eau en 2 lettres - 1 rÉponse : * Les rĂ©sultats sont triĂ©s par ordre de pertinence avec le nombre de lettres entre parenthĂšses. Nicolas1304 660. PostĂ© (e) 6 juin 2010. c'est surtout trĂšs mauvais pour la maison. En plus si il s'agit d'une simple rĂ©surgence dĂ» au ruisselement des eaux suite Ă  des fortes averses il n'y a pas moyen de canalyser toute l'eau qui imbibe la terre comme une Ă©ponge. Quand bien mĂȘme il est interdit de forer donc dur de dĂ©vier la source. PULSE l’association internationale de soutien Ă  l’entrepreneuriat Ă  impact et SUEZ, acteur majeur de la prĂ©servation de l’environnement et de l’économie circulaire, lancent un appel Ă  candidatures pour soutenir les Notresite Web est le meilleur qui vous offre CodyCross Soutiennent une maison construite sur l'eau rĂ©ponses et quelques informations supplĂ©mentaires comme des solutions et des astuces. Utilisez simplement cette page et vous passerez rapidement le niveau que vous avez bloquĂ© dans le jeu CodyCross. . Codycross est un jeu mobile dont l'objectif est de trouver tous les mots d'une grille. Pour cela, vous ne disposez que des dĂ©finitions de chaque mot. Certaines lettres peuvent parfois ĂȘtre prĂ©sentes pour le mot Ă  deviner. Sur Astuces-Jeux, nous vous proposons de dĂ©couvrir la solution complĂšte de Codycross. Voici le mot Ă  trouver pour la dĂ©finition "Soutiennent une maison construite sur l'eau" groupe 11 – grille n°4 Pilotis Une fois ce nouveau mot devinĂ©, vous pouvez retrouver la solution des autres mots se trouvant dans la mĂȘme grille en cliquant ici. Sinon, vous pouvez vous rendre sur la page sommaire de Codycross pour retrouver la solution complĂšte du jeu. 👍 Comment sont construites les maisons flottantes ? DĂ©composition et assemblage d'une maison flottante " itemprop="contentUrl"> Construction de la maison Une ossature en bois Toutes nos maisons sont intĂ©gralement construites en ossature bois pour vous garantir la meilleure qualitĂ© possible. Les avantages de la construction Ossature bois » Une structure lĂ©gĂšre et performante Une construction solide Un matĂ©riau sain et sĂ»r Une grande libertĂ© de construction Un chantier rapide et propre Note Aquashell utilise deux types de systĂšmes constructifs diffĂ©rents correspondant Ă  chaque type de projet Construction lĂ©gĂšre pour tous nos cabanes flottantes et cottages flottants de petites tailles 13–> 40 mÂČ Nos cottages sont intĂ©gralement rĂ©alisĂ©s en atelier afin de vous garantir une qualitĂ© de construction constante et identique pour chaque hĂ©bergement. Construction traditionnelle pour nos autres constructions de plus grande taille. Nos maisons rĂ©sidentielles sont en effet directement construites sur site, sur la plateforme flottante. RĂ©alisĂ© en ossature bois, nos rĂ©alisations sont en tout point Ă©quivalentes Ă  une construction de maison classique en bois Construction de la plateforme en aluminium Aquashell a fait le choix d’utiliser l’aluminium comme matĂ©riau pour ses plateformes. LĂ©ger et rĂ©sistant, l’aluminium est l’alliage idĂ©al ! FrĂ©quemment utilisĂ© dans le secteur de la construction navale ou dans le secteur automobile, une plateforme en aluminium c’est la garantie de lĂ©gĂšretĂ© et de robustesse ! Note Votre plateforme ne vous demandera pas d’entretien particulier. Une visite toutes les deux annĂ©es suivant la livraison de l’hĂ©bergement sera effectuĂ©e, afin de contrĂŽler la structure et les flotteurs. Les flotteurs en polyĂ©thylĂšne PE La flottabilitĂ© de nos hĂ©bergements flottants est rendu possible grĂące Ă  nos flotteurs, conçus et fabriquĂ©s par Rototec, utilisant la technologie tri-couches ». En effet, composĂ© de trois Ă©paisseurs de matiĂšre, ce principe de construction rend les flotteurs AQUASHELL trĂšs rĂ©sistants. Note TestĂ©s en condition extrĂȘme en SuĂšde pendant la saison hivernale, nous savons que nos flotteurs rĂ©sistent Ă  une pression de mĂštre de glace. Le systĂšme d’amarrage AQUASHELL adapte le systĂšme d’amarrage de ses hĂ©bergements flottants Ă  chaque site d’implantation. Nos hĂ©bergements peuvent ĂȘtre placĂ©s plus ou moins loin de la berge. Deux types d’amarrages sont disponibles Vis d’ancrage Ă©cologique Bracons en acier galvanisĂ© Note Les bracons montĂ©s sur pivot en acier galvanisĂ© sont idĂ©ales pour faire face au problĂšme des inondations. Lorsque le niveau de l’eau augmente, les bracons montĂ©s sur pivots, permettent une Ă©lĂ©vation de l’hĂ©bergement de 6 m. Les branchements Comme toute maison traditionnelle, les maisons flottantes se doivent d’ĂȘtre raccordĂ©es aux diffĂ©rents rĂ©seaux afin de pouvoir fonctionner correctement. Selon le site d’implantation choisi, deux solutions sont disponibles pour raccorder votre maison flottante aux rĂ©seaux Ă©lectriques et d’assainissements. Solution n° 1 Maison flottante reliĂ©e Ă  la berge RĂ©seau Ă©lĂ©ctrique Comme tout bateau amarrĂ© dans un port, les hĂ©bergements flottants sont alimentĂ©s en Ă©lectricitĂ© par cĂąbles. Lors de la livraison, le rĂ©seau Ă©lectrique est dĂ©jĂ  intĂ©gralement installĂ© Ă  bord de l’hĂ©bergement. Le client devra quant Ă  lui, prendre Ă  sa charge l’arrivĂ©e du rĂ©seau Ă©lectrique sur la berge. RĂ©seau d’assainissement AQUASHELL installe une pompe de relevage intĂ©grĂ©e dans un des flotteurs arriĂšre de l’hĂ©bergement. Cette pompe de relevage est capable de refouler toutes les eaux usĂ©es Ă  une distance maximale de 110 mĂštres directement sur la berge. Le client devra quant Ă  lui prĂ©voir la solution de stockage ou de traitement Ă  installer sur la berge. Solution n° 2 Maison flottante autonome RĂ©seau Ă©lĂ©ctrique Pour les sites d’implantation non viabilisĂ©s AQUASHELL installe ses maisons flottantes Ă©quipĂ©es de panneaux photovoltaĂŻques. Chaque projet autonome demandera une Ă©tude technique personnalisĂ©e selon votre lieu d’implantation. En effet, une installation solaire nĂ©cessite de notre part plusieurs Ă©tudes taux d’ensoleillement, orientation de l’hĂ©bergement sur l’eau, etc.. RĂ©seau d’assainissement AQUASHELL vous propose diffĂ©rentes solutions pour l’assainissement autonome de votre maison flottante. En effet, selon le type de plan d’eau sur lequel sera installĂ© votre maison flottante, AQUASHELL vous donne la possibilitĂ© soit de stocker vos eaux usĂ©es, soit de les traiter directement en ayant recours au principe de la phytoĂ©puration flottante un traitement simple, fiable et sans entretien. Note Dans le cas de figure autonome », AQUASHELL vous propose deux solutions pour le stockage ou le traitement de vos eaux usĂ©es. Stockage Comme tout bateau Ă©quipĂ© depuis 2007, la cuve Ă  eaux noires Ă  pour but de stocker les eaux usĂ©es. Aquashell a fait le choix d’utiliser un des flotteurs situĂ© sous la maison pour rĂ©cupĂ©rer toutes les eaux usĂ©es. D’une capacitĂ© de 2 m3 le flotteur est Ă©quipĂ© d’une jauge permettant de connaĂźtre Ă  tout moment la hauteur de remplissage des eaux usĂ©es. Une fois le flotteur rempli, il ne vous restera plus qu’à vider les eaux usĂ©es par pompage. Traitement Votre systĂšme de phytoĂ©puration flottante est situĂ© Ă  quelques mĂštres de votre habitat. ComposĂ© de deux cuves » en polyĂ©thylĂšne dans lesquelles sont implantĂ©s, roseaux et plantes, cette station de traitement, Ă©cologique ne vous demandera pas d’entretien particulier. Ce principe d’assainissement garantie en sortie de traitement une eau propre vous permettant le rejet directement dans l’eau de votre Ă©tang. LA COUR DE CASSATION, TROISIÈME CHAMBRE CIVILE, a rendu l'arrĂȘt suivant Attendu, selon l'arrĂȘt attaquĂ© Saint-Pierre-et-Miquelon, 17 septembre 2014, que, le 13 mai 2009, M. et Mme X... ont achetĂ© une maison d'habitation Ă  Mme Y... et M. Z... ; qu'Ă  la suite de fortes pluies survenues en juillet et septembre 2010 et fĂ©vrier et aoĂ»t 2011, son sous-sol a Ă©tĂ© inondĂ© endommageant divers biens et dĂ©gradant les lieux ; que les acquĂ©reurs ont assignĂ© les vendeurs en annulation de la vente et paiement de dommages-intĂ©rĂȘts sur le fondement de la garantie des vices cachĂ©s et du dol ; Sur le premier moyen, ci-aprĂšs annexĂ© Attendu que M. et Mme X... font grief Ă  l'arrĂȘt de rejeter leurs demandes fondĂ©es sur la garantie des vices cachĂ©s ; Mais attendu qu'ayant, par motifs propres et adoptĂ©s, constatĂ© qu'aucun des documents remis aux acquĂ©reurs lors de la vente ne prĂ©cisait que la construction s'Ă©tablissait sur trois niveaux habitables, relevĂ© qu'elle avait Ă©tĂ© Ă©difiĂ©e Ă  proximitĂ© d'un marais et en contrebas d'un Ă©tang, sur un terrain connu de tous les riverains comme inondable lors d'Ă©pisodes de fortes pluies, et qu'au sous-sol de l'immeuble qui Ă©tait semi-enterrĂ©, Ă©taient visibles des traces d'infiltrations sur le mur nord, la prĂ©sence d'un puisard ainsi que l'absence de tout systĂšme de chauffage, malgrĂ© la rigueur du climat, et qu'y Ă©taient installĂ©s un placard et des appareils mĂ©nagers disposĂ©s sur des palettes pour les protĂ©ger des remontĂ©es d'eau et retenu que M. X..., professionnel de la construction immobiliĂšre et propriĂ©taire d'une maison sur un terrain contigu, avait visitĂ© l'immeuble Ă  deux reprises, le tribunal supĂ©rieur d'appel en a souverainement dĂ©duit, sans ĂȘtre tenu de procĂ©der Ă  des recherches que ses constatations rendaient inopĂ©rantes, que l'existence d'un vice cachĂ© n'Ă©tait pas Ă©tablie ; D'ou il suit que le moyen n'est pas fondĂ© ; Sur le second moyen, ci-aprĂšs annexĂ© Attendu que M. et Mme X... font grief Ă  l'arrĂȘt de rejeter leurs demandes fondĂ©es sur le dol ; Mais attendu qu'ayant retenu que le sous-sol, bien qu'amĂ©nagĂ© pour y installer des appareils mĂ©nagers et y ranger divers objets, conservait sa fonction de vide sanitaire et ne pouvait ĂȘtre considĂ©rĂ© comme une surface habitable et que l'existence de manoeuvres dolosives et d'un vice cachĂ© n'Ă©tait pas Ă©tablie, le tribunal supĂ©rieur d'appel, qui n'Ă©tait pas tenu de procĂ©der Ă  des recherches que ses constatations rendaient inopĂ©rantes, a pu en dĂ©duire que leurs demandes ne pouvaient ĂȘtre accueillies ; D'oĂč il suit que le moyen n'est pas fondĂ© ; PAR CES MOTIFS REJETTE le pourvoi ; Condamne M. et Mme X... aux dĂ©pens ; Vu l'article 700 du code de procĂ©dure civile, rejette la demande M. et Mme X... ; Ainsi fait et jugĂ© par la Cour de cassation, troisiĂšme chambre civile, et prononcĂ© par le prĂ©sident en son audience publique du cinq janvier deux mille dix-sept. MOYENS ANNEXES au prĂ©sent arrĂȘt Moyens produits par la SCP Marlange et de La Burgade, avocat aux Conseils, pour M. et Mme X... PREMIER MOYEN DE CASSATION Il est fait grief Ă  l'arrĂȘt attaquĂ© D'AVOIR dĂ©boutĂ© les Ă©poux X... de leurs demandes en annulation de la vente et en paiement de dommages-intĂ©rĂȘts ; AUX MOTIFS PROPRES QUE Sur l'annulation de la vente intervenue le 13 mai 2009 pour vices cachĂ©s il est constant et non contestĂ© aux dĂ©bats en cause d'appel que par acte notariĂ© en date du 13 mai 2009, Madame Catherine Y... et Monsieur Philippe Z... ont vendu Ă  Monsieur Charles X... et Madame Evelyse A...Ă©pouse X..., une maison d'habitation situĂ©e ...Ă  SAINT PIERRE 975, ce moyennant la somme de 295. 000 € ; il n'est pas plus contestĂ© aux dĂ©bats qu'Ă  plusieurs reprises, en juillet 2010, septembre 2010, fĂ©vrier et aoĂ»t 2011 le sous-sol de l'habitation acquise par les Ă©poux X... a Ă©tĂ© l'objet d'inondations qui ont endommagĂ© divers biens mobiliers installĂ©s en sous-sol ; se fondant, Ă  titre principal, sur les dispositions des articles 1641 Ă  1644 du code civil, les Ă©poux X... sollicitent l'annulation de la vente intervenue en mai 2009 au titre de la garantie des vices cachĂ©s ; l'article 1641 du code civil prĂ©voit en effet que Le vendeur est tenu de la garantie Ă  raison des dĂ©fauts cachĂ©s de la chose vendue qui la rendent impropre Ă  l'usage auquel on la destine, ou qui diminuent tellement cet usage que l'acheteur ne l'aurait pas acquise, ou n'en aurait donnĂ© qu'un moindre prix, s'il les avait connus » ; l'article 1642 du mĂȘme code Ă©nonce cependant que Le vendeur n'est pas tenu des vices apparents et dont l'acheteur a pu se convaincre lui-mĂȘme » ; pour relever de la garantie des vices cachĂ©s, il est nĂ©cessaire que le vice qui affecte la chose vendue soit antĂ©rieur Ă  la vente et la rende impropre Ă  sa destination normale ; la jurisprudence prĂ©cisant, pour l'application de l'article 1642, que, pour considĂ©rer que l'acheteur a pu se convaincre lui-mĂȘme de l'existence de vices, il faut qu'il en ait constatĂ© l'existence dans leurs causes et leur amplitude et qu'il en ait mesurĂ© l'Ă©tendue et la gravitĂ© ; en l'espĂšce, les Ă©poux X... soutiennent que le vice affectant le sous-sol de la maison dont ils ont fait l'acquisition des consorts Y...-Z...inondation du sous-sol lors des pĂ©riodes de fortes prĂ©cipitations Ă  la suite de remontĂ©es d'eau, Ă©tait prĂ©existant Ă  la vente et connu des vendeurs qui avaient Ă©tĂ© eux-mĂȘmes confrontĂ©s Ă  des inondations, ayant Ă©tĂ© contraints d'installer un puisard Ă  l'intĂ©rieur du sous-sol et de nombreux drains Ă  l'extĂ©rieur de la maison, et que lors de la vente, ils n'ont pas Ă©tĂ© informĂ©s de cet Ă©tat de fait, les inondations rĂ©currentes rendant impropre le sous-sol Ă  son habitabilitĂ© ; il apparaĂźt de l'examen des piĂšces produites aux dĂ©bats que le permis de construire relatif Ă  la construction litigieuse a Ă©tĂ© demandĂ©e par Monsieur Philippe Z... le 19 avril 2000 et dĂ©livrĂ© le 14 juin 2000 par le PrĂ©sident du Conseil GĂ©nĂ©ral des Ăźles de SAINT PIERRE et MIQUELON ; la demande de permis de construire faisait Ă©tat d'une rĂ©sidence principale pour une surface au sol de construction de 150 m ÂČ, les plans annexĂ©s Ă  la demande Ă©tant relatif Ă  un pavillon constituĂ© d'un rez-de-chaussĂ©e et d'un premier Ă©tage, le sous-sol Ă©tant constituĂ© d'un vide sanitaire d'une hauteur de 0, 90 m ; il est Ă©galement constant pour les parties Ă  la prĂ©sente instance que la construction rĂ©alisĂ©e par Madame Catherine Y... et Monsieur Philippe Z... n'a pas Ă©tĂ© rĂ©alisĂ©e conformĂ©ment au permis de construire dĂ©livrĂ© puisque le vide sanitaire rĂ©alisĂ© par l'entreprise HELENE & FILS, Ă  la demande des maĂźtres d'ouvrage, a Ă©tĂ© construit Ă  une hauteur de 1, 80 m comme le rĂ©vĂšle la facture n° F200305 du 23 aoĂ»t 2000 Ă©tablie par la sociĂ©tĂ© HELENE & FILS vide sanitaire, hauteur 1, 80 m, Ă©paisseur 0, 20m », l'expert judiciaire dĂ©signĂ© par le tribunal de premiĂšre instance retenant quant Ă  lui une hauteur sous-plafond moyenne de 1, 771 m, les voiles de structures faisant 1, 80 m ; il convient cependant de relever que les travaux de construction rĂ©alisĂ©s par la sociĂ©tĂ© HELENE & FILS, bien que non conformes au permis de construire dĂ©livrĂ© au bĂ©nĂ©fice des Ă©poux Philippe Z..., ont Ă©tĂ© exĂ©cutĂ©s conformĂ©ment aux plans et prescriptions de Monsieur et Madame Philippe Z... ; pour ce qui concerne l'acte de vente notariĂ©, en date du 13 mai 2009, il est indiquĂ© de façon fort peu dĂ©taillĂ©e, au paragraphe DĂ©signation de l'immeuble vendu » le vendeur vend Ă  l'acquĂ©reur, qui accepte, la pleine propriĂ©tĂ© de l'immeuble dont la dĂ©signation suit un immeuble en nature de maison Ă  usage d'habitation principale sis Ă  SAINT PIERRE, ...avec terrain cadastrĂ© en ladite commune sous les numĂ©ros 36 et 154 de la section AO pour des contenances respectives de 10 ares et de 5 ares. Ainsi que les meubles meublants garnissant ladite maison, dĂ©crits et estimĂ©s par les parties dans un Ă©tat demeurĂ© ci-annexĂ©, tel que ledit immeuble existe, sans exception ni rĂ©serve » ; les plans de construction de la maison, objet du prĂ©sent litige, qui ont Ă©tĂ© remis aux acheteurs postĂ©rieurement Ă  la signature de l'acte de vente, selon les dĂ©clarations de ces derniers, sont Ă©galement peu prĂ©cis pour ce qui concerne le soubassement de la construction et plus particuliĂšrement pour le vide sanitaire qui est partiellement enterrĂ© ; l'expert mandatĂ© indique dans son rapport que les dĂ©sordres constatĂ©s sont des infiltrations dans le local situĂ© au sous-sol » semi-enterrĂ© qui est amĂ©nagĂ© en locaux habitables » et que lors de fortes pluies l'eau s'infiltre par l'angle nord-ouest du bĂątiment, sur toute la surface de ces deux piĂšces situĂ©es au niveau-1 semi-enterrĂ© ; il prend soin cependant de prĂ©cision aux pages 65 et 66 de son rapport qu'il ne lui appartient pas de se prononcer sur l'habitabilitĂ© » de la surface N-1 vide sanitaire ou sous-sol, cette dĂ©finition relevant d'une apprĂ©ciation juridique qui n'entre pas dans ses compĂ©tences ; il relĂšve toutefois qu'il existe deux origines diffĂ©rentes aux infiltrations d'eau constatĂ©es, mais qui sont liĂ©es l'une Ă©tant l'arrivĂ©e d'eau de ruissellement de la montage, en arriĂšre du pavillon façade nord, qui, en saturant la prairie, entraĂźne des infiltrations d'eau par l'angle nord-ouest, mais Ă©galement et surtout en sous-face du dallage par les fissures et joints de dallage et parallĂšlement Ă  cette origine, la montĂ©e en charge du marais, donne un niveau artificiel de la nappe phrĂ©atique momentanĂ©ment atteinte par les grandes pluies qui empĂȘche toute possibilitĂ© d'utilisation des drains qui sont noyĂ©s dans l'eau de la nappe, ce qui empĂȘche l'Ă©coulement de cette eau qui entre dans le pavillon au niveau semi-enterrĂ© ; il ajoute p. 55 que la cause des dĂ©sordres est la nature de la construction qui n'a pas Ă©tĂ© faite initialement pour Ă©tancher cette partie semi-enterrĂ©e, ce en rappelant que le vide sanitaire, qui n'a pas vocation Ă  ĂȘtre Ă©tanche, est inondable puisqu'il n'existe pas de configuration technique qui permette d'empĂȘcher l'eau de rentrer Ă  l'intĂ©rieur, et relĂšve qu'un puisard avait Ă©tĂ© installĂ© dans le sol de ce niveau semi-enterrĂ©, avec une pompe de relevage qui relevait l'eau directement dans une canalisation qui Ă©tait reliĂ©e Ă  la canalisation centrale sur la route principale qui conduit l'eau vers la mer ; l'expert retient alors deux hypothĂšses ou bien on se conforme au permis de construire, mĂȘme transformĂ© en faisant un vide sanitaire plus important, c'est-Ă -dire Ă  1, 80 m de hauteur au lieu des 0, 90 m et dans ces conditions, la construction a Ă©tĂ© Ă©difiĂ©e correctement par la sociĂ©tĂ© HELENE & FILS la hauteur du vide sanitaire n'Ă©tant pas l'objet du litige qui repose sur l'habitabilitĂ© ou non de la surface en N-1, ou bien on se situe dans un pavillon qui aurait un sous-sol amĂ©nagĂ©, comme cela est le cas, ce qui est contraire au permis de construire et dans ce cas, il est indispensable de procĂ©der Ă  des travaux de confortation de l'Ă©tanchĂ©itĂ© ; comme le rappelle l'expert dans ses conclusions p. 64, un vide sanitaire, tel que techniquement dĂ©fini habituellement, est d'une hauteur comprise entre 20 et 60 cm et sert Ă  isoler, en rĂ©servant un volume d'air et en traitant les ponts thermiques, la dalle de plancher bas d'une habitation de toutes remontĂ©es d'humiditĂ© ; il prĂ©cise cependant que lorsqu'il est accessible, il le vide sanitaire est aĂ©rĂ© par un systĂšme de ventilation grille ou autre, et a une hauteur de 60 cm minimum avec une trappe d'accĂšs vers l'intĂ©rieur, et il ne s'agit pas d'un espace rĂ©pondant Ă  des paramĂštres techniques humiditĂ©, isolation ; l'expert considĂšre que mĂȘme transformĂ© » avec une hauteur de vide sanitaire plus importante 1, 80 m rĂ©alisĂ©e au lieu des 0, 90 m prĂ©vue au permis de construire, et avec trois rĂ©servations pour fenĂȘtres horizontales, la construction a bien Ă©tĂ© Ă©difiĂ©e par la sociĂ©tĂ© HELENE & FILS avec un vide sanitaire, et que dans ce cas, s'agissant d'un vide sanitaire, l'habitabilitĂ© ne peut pas ĂȘtre demandĂ©e dans cette partie de l'ouvrage et les dĂ©sordres ne compromettent pas sa destination administrative et contractuelle puisque c'est un vide sanitaire ; le prĂ©sent litige porte donc sur le vice cachĂ© dont serait affectĂ© l'immeuble vendu, dans sa partie semi-enterrĂ©e, qualifiĂ©e lors de la construction de vide sanitaire, puis de sous-sol » dans la mesure oĂč les consorts Y...-Z..., en modifiant la hauteur du vide sanitaire rĂ©alisĂ©, ont pu ainsi rendre utilisable, Ă  destination de sous-sol amĂ©nagĂ© » en contradiction avec le permis de construire, une partie de l'immeuble qui n'Ă©tait pas initialement destinĂ©e Ă  cet usage ; il y a lieu de relever que, malgrĂ© cet amĂ©nagement du vide sanitaire, ce dernier n'avait pas perdu sa fonction premiĂšre d'isolation du plancher du rez-de-chaussĂ©e de la construction de l'humiditĂ© par l'installation du puisard qui a fonctionnĂ© rĂ©guliĂšrement, lors des rares Ă©pisodes de fortes pluies 2 fois en 2010 et 2 fois en 2011, pour Ă©vacuer les eaux d'infiltrations avant d'ĂȘtre rebouchĂ© par l'entreprise HELENE & FILS sur demande des Ă©poux Z... ; il convient Ă©galement de constater qu'aucun des documents remis aux acheteurs, lors de l'acquisition de l'immeuble, ne comporte de descriptif dĂ©taillĂ© de la construction ni ne prĂ©cise que celle-ci s'Ă©tablit sur trois niveaux habitables », l'acte de vente notariĂ© n'Ă©tant pas plus prĂ©cis sur ce point ; il apparaĂźt encore des dĂ©bats qu'avant de se dĂ©terminer et de rĂ©gulariser l'acte d'acquisition de la construction litigieuse, Monsieur Charles X... a visitĂ© Ă  deux reprises les lieux comme il l'a indiquĂ© lui-mĂȘme lors du transport sur les lieux effectuĂ© par le juge du tribunal de premiĂšre instance ; il est prĂ©cisĂ© Ă  cet Ă©gard page 3 du PV de transport sur les lieux que lors de la visite de la maison l'isolant recouvrant le mur Nord dans le sous-sol » litigieux Ă©tait dĂ©jĂ  dĂ©posĂ© et que, selon les propres dĂ©clarations de Monsieur X..., la premiĂšre visite des lieux avait durĂ© environ une heure pour voir l'amĂ©nagement des piĂšces et l'immeuble dans son ensemble, et que la seconde visite avait Ă©tĂ© plus dĂ©taillĂ©e ; en outre, si Monsieur X... conteste, dans ses derniĂšres Ă©critures, la prĂ©sence de traces d'infiltrations qui auraient Ă©tĂ© visibles dans le sous-sol » aprĂšs dĂ©montage des plaques de protection par les vendeurs, il ne conteste pas avoir constatĂ© la prĂ©sence, dans ce mĂȘme sous-sol, d'un puisard qui est une excavation situĂ©e au niveau le plus bas d'une cave ou piĂšce et dont la fonction est prĂ©cisĂ©ment destinĂ©e Ă  recevoir et absorber ou Ă©vacuer les eaux ou rĂ©sidus liquides souvent au moyen d'une pompe positionnĂ©e au fond du puisard et qui ne pouvait, surtout en sa qualitĂ© de propriĂ©taire d'une construction sur un terrain contigu Ă  la propriĂ©tĂ© objet de la prĂ©sente instance et qualifiĂ© de terrain litigieux » par Monsieur X... lui-mĂȘme lors des opĂ©rations de transport sur les lieux, qu'Ă©voquer la prĂ©sence au moins Ă©pisodique, d'eau en quantitĂ© suffisamment importante pour devoir ĂȘtre Ă©vacuĂ©e ; comme il l'a Ă©tĂ© rappelĂ© ci-avant, l'action de l'acheteur en garantie des vices cachĂ©s, fondĂ©e sur les dispositions de l'article 1641 nĂ©cessite que soit rapportĂ©e la preuve par l'acquĂ©reur de l'existence d'un vice affectant la chose vendue et la rendant impropre Ă  l'usage auquel on la destine ; en l'espĂšce, les Ă©poux X... ne dĂ©montrent aucunement que le bien immobilier dont ils se sont portĂ©s acquĂ©reurs en date du 13 mai 2009 leur ait Ă©tĂ© prĂ©sentĂ© comme Ă©tant habitable » sur trois niveaux ; la non-conformitĂ© de la construction par rapport au permis de construire dĂ©posĂ© vide sanitaire de 1, 80 m Ă©quipĂ© de trois fenĂȘtres au lieu du vide sanitaire prĂ©vu pour une hauteur de 0, 90 m ne caractĂ©rise pas, comme l'a rappelĂ© l'expert, et comme l'a retenu Ă  tort le premier juge, un vice affectant la construction puisque demeurant un vide sanitaire qui n'a pas vocation, par sa nature, Ă  ĂȘtre Ă©tanche et qui doit permettre l'Ă©coulement des eaux lors des fortes pluies en raison du fait que la construction a Ă©tĂ© Ă©difiĂ©e sur un terrain, connu de tous les riverains dont les acquĂ©reurs, comme Ă©tant inondable lors d'Ă©pisodes de fortes pluies ; la surface habitable d'une construction, dĂ©finie Ă  l'article R. 111-2 du code de la construction, est constituĂ©e par la surface de plancher construire, aprĂšs dĂ©duction des surfaces occupĂ©es par les murs, cloisons, marches et cages d'escaliers, gaines, embrasures de portes et de fenĂȘtres ; cette surface ne tient pas compte de la superficie des combles non amĂ©nagĂ©s, caves et sous-sols, remises, garages 
 et autres dĂ©pendances des logements, ni des parties de locaux d'une hauteur infĂ©rieure Ă  1, 80 mĂštre ; si les vendeurs reconnaissent avoir, en partie, amĂ©nagĂ© le vide sanitaire de leur construction en y installant, sur palettes, une machine Ă  laver et un sĂšche-linge, des placards destinĂ©s aux vĂȘtement de pĂȘche et de chasse, et en y stockant des jouets d'enfants et du matĂ©riel de bricolage, cet amĂ©nagement, dĂ©pourvu de tout systĂšme de chauffage dans un local semi-enterrĂ© situĂ© dans une rĂ©gion au climat extrĂȘmement rigoureux, ne remet pas en cause la fonction du vide sanitaire, qui demeure amĂ©nageable, mais qui ne peut ĂȘtre considĂ©rĂ© comme ayant créé une surface habitable » au sens du code de la construction et qui serait dĂšs lors atteinte par un vice inhĂ©rent Ă  la chose vendue en cas de fortes pluies ; en consĂ©quence, les Ă©poux Charles X... seront dĂ©boutĂ©s de leur demande en annulation de la vente au titre de la garantie des vices cachĂ©s » arrĂȘt pp. 9 Ă  13 ; ET AUX MOTIFS QUE lors des deux visites de la maison par Monsieur X..., l'isolant recouvrant le mur Nord dans le sous-sol » litigieux Ă©tait dĂ©jĂ  dĂ©posĂ© et rĂ©vĂ©lait l'existence d'une fissures et de traces d'infiltrations, les lieux Ă©tant de plus Ă©quipĂ©s d'un puisard parfaitement visible et Ă©galement examinĂ© par Monsieur X... selon ses propres dĂ©clarations lors du transport sur les lieux paragraphe 2, page 5/ 10 » arrĂȘt, p. 14 ; ET, ENFIN, AUX MOTIFS EVENTUELLEMENT ADOPTES QU' en matiĂšre de vente, l'article 1641 du code civil pose le principe d'une garantie due par le vendeur Ă  raison des dĂ©fauts cachĂ©s de la chose vendue ; que la garantie n'est due que si ce vice rend la chose vendue impropre Ă  son usage ou s'il en diminue tellement l'usage que l'acquĂ©reur aurait refusĂ© d'acquĂ©rir ou acquis Ă  un moindre prix s'il avait connu ce vice ; que l'article 1642 du mĂȘme code prĂ©cise toutefois que le vendeur n'est pas tenu des vices apparents et dont l'acheteur a pu se convaincre lui-mĂȘme » ; que la jurisprudence a qualifiĂ© de vice apparent celui qui, non seulement est matĂ©riellement connu par l'acquĂ©reur, mais Ă©galement dont on peut considĂ©rer que l'ampleur et les consĂ©quences du vice concernĂ© ont Ă©tĂ© justement apprĂ©hendĂ©s par lui Cass. 3Ăšme civ., 21 juin 1995, n° 93-12. 922, Cass. 3Ăšme civ., 14 mars 2012, n° 11-10. 861 ; qu'en l'espĂšce, les demandeurs se plaignent d'infiltrations d'eau de pluie au sous-sol » de leur maison d'habitation survenant Ă  l'occasion de fortes intempĂ©ries ; que depuis l'acquisition, le 13 mai 2009, ils ont subi des inondations les 11 et 12 juillet, le 21 septembre 2010, les 25 et 26 fĂ©vrier 2011 et le 16 aoĂ»t 2011 ; que les sinistres ont dĂ©truit ou abimĂ© trĂšs fortement deux canapĂ©s, des livres, un systĂšme de son, une machine Ă  laver et un home cinĂ©ma, outre la dĂ©gradation des murs et planchers et les risques d'atteinte Ă  la soliditĂ© de l'immeuble ; qu'il sera ici rappelĂ© que le sous-sol se dĂ©finit habituellement comme un local normalement accessible grĂące Ă  une hauteur sous plafond = 1, 80 m, mais dont la destination premiĂšre n'est pas l'habitation tandis que, contrairement au sous-sol, le vide sanitaire ne fait pas partie du volume habitable et est beaucoup plus bas entre 60 cm et 90 cm ; que, prĂ©sentant une hauteur de 1, 76 m, le local litigieux a Ă©tĂ© utilisĂ© tant par les vendeurs que par les acquĂ©reurs Ă  des fins de rangement et de blanchisserie, voire, pour les acquĂ©reurs, de salle de projection Ă©quipĂ©e d'un home cinĂ©ma ; qu'il s'en dĂ©duit que clairement non habitable » au sens strict du terme, ce local peut ĂȘtre qualifiĂ© de sous-sol » dĂšs lors qu'il est accessible et utilisable Ă  des fins principalement techniques ; que, sans empĂȘcher totalement l'usage dudit sous-sol », les infiltrations d'eau, ayant pour certaines d'entre elles, confinĂ© Ă  l'inondation, matĂ©riellement Ă©tablies et non contestĂ©es par les dĂ©fendeurs, constituent nĂ©anmoins une gĂȘne non nĂ©gligeable et, en diminuant l'usage de l'immeuble, forment un vice de celui-ci ; que la question est en rĂ©alitĂ© celle de savoir si ce vice Ă©tait, pour les acquĂ©reurs, apparent ou non au moment de la vente ; qu'il rĂ©sulte des piĂšces et Ă©critures versĂ©es en procĂ©dure, du transport rĂ©alisĂ© le 16 juin 2011 et du rapport d'expertise dĂ©posĂ© le 17 dĂ©cembre 2012 que le sous-sol de ladite maison litigieuse est implantĂ© de maniĂšre semi-enterrĂ©e, en zone marĂ©cageuse, Ă  toute proximitĂ© d'un marais au sud-est et en contrebas d'un Ă©tang au nord ; qu'il est Ă©tabli par l'expertise que les infiltrations d'eau ont deux origines distinctes mais qui sont liĂ©es - l'une Ă©tant l'arrivĂ©e d'eaux de ruissellement de la montagne, en arriĂšre du pavillon façade nord qui, en saturant la prairie, entraĂźne des infiltrations par l'angle nord-ouest,- l'autre Ă©tant la rĂ©surgence d'eau en sous face du dallage par les fissures et les joints, en raison de l'augmentation du niveau de la nappe phrĂ©atique et du sous-dimensionnement de la buse d'Ă©vacuation du marais ; qu'il est encore Ă©tabli par le mĂȘme rapport d'expertise que la cause des infiltrations est la nature mĂȘme de la construction dudit sous-sol, qui n'a pas Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© initialement de maniĂšre Ă©tanche, le permis de construire faisant en effet Ă©tat de la construction d'un vide sanitaire », et non d'un sous-sol habitable ; que le caractĂšre semi-enterrĂ© du sous-sol, la prĂ©sence de l'Ă©tang au nord en haut de la colline et la prĂ©sence du marais au sud Ă©taient des Ă©lĂ©ments extĂ©rieurs parfaitement visibles par les acquĂ©reurs au moment de l'acquisition ; que, surtout, ces caractĂ©ristiques Ă©taient parfaitement connues d'eux puisqu'ils Ă©taient eux-mĂȘmes propriĂ©taires d'une maison construire sur la parcelle immĂ©diatement contigĂŒe Ă  l'ouest et qu'ils n'ignoraient rien du risque d'inondation de la zone pour avoir eux-mĂȘmes Ă©tĂ© victimes de remontĂ©es d'eaux Ă  la suite de fortes intempĂ©ries ; qu'au jour du transport, Monsieur X..., par ailleurs professionnel de la construction immobiliĂšre dans l'archipel de SAINT PIERRE ET MIQUELON, a du reste dĂ©clarĂ© que si ça avait Ă©tĂ© sa maison », il aurait construit avec une cave Ă©tanche » dĂšs le dĂ©part, car ici, nous sommes en terrain litigieux » ; que le caractĂšre non Ă©tanche du sous-sol s'Ă©vinçait quant Ă  lui de la prĂ©sence visible d'un puisard situĂ© Ă  proximitĂ© de la descente d'escalier intĂ©rieur, de trois fenĂȘtres et d'une porte extĂ©rieure ; qu'il convient de rappeler qu'en architecture et en construction, le puisard est un systĂšme placĂ© au point le plus bas des caves, servant Ă  recueillir l'eau afin de la pomper en cas d'inondation ; que la prĂ©sence d'un puisard signe, par consĂ©quent, Ă  elle seule l'existence d'un risque d'inondation et, corrĂ©lativement, l'absence de tout caractĂšre Ă©tanche de l'endroit oĂč il est placĂ©, peu important que cet Ă©quipement ait Ă©tĂ© par la suite immobilisĂ© ; qu'hormis la porte et les fenĂȘtres, Monsieur X... s'est de fait penchĂ© sur le puisard lors de sa visite des lieux prĂ©alablement Ă  l'acquisition mais n'a pas souhaitĂ© examiner plus avant l'Ă©tat de celui-ci Ă  ce moment-lĂ , prĂ©cisant qu'il y avait de moins en moins de maisons avec des puisard en raison du dĂ©veloppement de systĂšmes efficaces de drainage ; enfin, que la survenue antĂ©rieure d'infiltrations s'Ă©vinçait quant Ă  elle de la prĂ©sence de traces visibles de celles-ci dans l'angle nord-ouest du mur du sous-sol, contre lequel les panneaux de recouvrement bois et panneaux d'isolation avaient, pour la raison des infiltrations, Ă©tĂ© dĂ©montĂ©s par les vendeurs, et non remontĂ©s par la suite, rendant ainsi la dĂ©gradation de l'angle aisĂ©ment visible lors des deux visites prĂ©alables des lieux ; que lĂ  encore, cette dĂ©pose des panneaux n'appelait pas d'observation particuliĂšre de la part des acquĂ©reurs, pas plus que l'Ă©tat dĂ©gradĂ© du mur ; qu'il se dĂ©duit de l'ensemble de ces Ă©lĂ©ments que Monsieur et Madame X..., en faisant l'acquisition d'une maison dont le sous-sol Ă©tait d'une part construit de maniĂšre semi-enterrĂ©e dans une zone marĂ©cageuse connue d'eux comme telle, d'autre se trouvait ĂȘtre Ă©quipĂ© d'un puisard, de fenĂȘtres et d'une porte, et, enfin, prĂ©sentait des traces visibles d'infiltrations dans l'angle nord-ouest, ont nĂ©cessairement connu, au moment de cette acquisition, non seulement le vice dont Ă©tait affectĂ© ce sous-sol, Ă  savoir son dĂ©faut d'Ă©tanchĂ©itĂ© en zone inondable, mais aussi son ampleur et ses consĂ©quences, Ă  savoir la survenue d'infiltrations d'eau, a fortiori lors de fortes intempĂ©ries, ce dont prĂ©cisĂ©ment ils se sont plaints ; que c'est Ă  tort qu'ils se sont convaincus que le sous-sol Ă©tait Ă©tanche alors que c'est de maniĂšre trĂšs apparente qu'il ne l'Ă©tait pas ; qu'en consĂ©quence, en l'absence de vice cachĂ©, ils sont mal fondĂ©s Ă  solliciter l'annulation de la vente immobiliĂšre ; qu'il convient dĂšs lors de les dĂ©bouter de l'ensemble de leurs demandes principes et accessoires » jugement, pp. 8 Ă  10 ; ALORS QUE 1° le vendeur est tenu de la garantie Ă  raison des dĂ©fauts cachĂ©s de la chose vendue qui la rendent impropre Ă  l'usage auquel on la destine, ou qui diminuent tellement cet usage que l'acheteur ne l'aurait pas acquise, ou n'en aurait donnĂ© qu'un moindre prix, s'il les avait connus ; que le tribunal supĂ©rieur d'appel constate qu'aucun document remis aux acheteurs lors de l'acquisition de l'immeuble ne comporte de descriptif dĂ©taillĂ© de la construction, permettant notamment de dĂ©terminer si elle s'Ă©tablissait sur trois niveaux habitables », comprenant le vide sanitaire faisant office de sous-sol arrĂȘt p. 12 ; qu'en se bornant, pour dĂ©bouter les Ă©poux X... de leur demande d'annulation de la vente, Ă  affirmer que les acquĂ©reurs ne dĂ©montraient pas que le bien acquis leur avait Ă©tĂ© prĂ©sentĂ© comme Ă©tant habitable » sur trois niveaux, sans rechercher, comme il y Ă©tait expressĂ©ment invitĂ© conclusions des exposants, pp. 6 Ă  9, 16 et 17, si le caractĂšre habitable du sous-sol de l'immeuble vendu ne rĂ©sultait pas nĂ©cessairement, aux yeux des acheteurs lors de la vente, et en l'absence de toute prĂ©cision dans les documents contractuels Ă  cet Ă©gard, de la volontĂ© manifeste des vendeurs de disposer d'un local habitable, puisqu'ils avaient fait rĂ©aliser une hauteur sous plafond permettant l'habitabilitĂ© contrairement Ă  un vide sanitaire classique, qu'ils avaient agrĂ©mentĂ© le local de deux accĂšs intĂ©rieur et extĂ©rieur et de trois fenĂȘtres, et qu'ils avaient eux-mĂȘmes amĂ©nagĂ© ce sous-sol en buanderie meublĂ©e d'une table et d'Ă©tagĂšres, d'un lave-linge, d'un sĂšche-linge, et d'un rĂ©frigĂ©rateur, en lieu de stockage affaires de pĂȘche, de chasse, de jouets 
 avec des placards, et en une salle de jeux pour les enfants, le tribunal supĂ©rieur d'appel a privĂ© sa dĂ©cision de base lĂ©gale au regard de l'article 1641 du code civil ; ALORS QUE 2° le vendeur est tenu de la garantie Ă  raison des dĂ©fauts cachĂ©s de la chose vendue qui la rendent impropre Ă  l'usage auquel on la destine, ou qui diminuent tellement cet usage que l'acheteur ne l'aurait pas acquise, ou n'en aurait donnĂ© qu'un moindre prix, s'il les avait connus ; que le vendeur n'est pas tenu des vices apparents et dont l'acheteur a pu se convaincre lui-mĂȘme ; que, pour dĂ©bouter les Ă©poux X... de leur demande d'annulation de la vente, le tribunal supĂ©rieur d'appel constate que, malgrĂ© les amĂ©nagements dont il avait fait l'objet, le local litigieux n'avait pas perdu sa fonction premiĂšre d'isolation du plancher du rez-de-chaussĂ©e de l'humiditĂ©, par l'installation du puisard arrĂȘt p. 11 et que le caractĂšre non Ă©tanche du sous-sol s'Ă©vinçait de la prĂ©sence visible de ce puisard jugement, p. 9 ; qu'en statuant ainsi, sans rechercher, comme le faisaient valoir les Ă©poux X... conclusions, p. 14, si, outre le fait que le local litigieux Ă©tait amĂ©nagĂ© pour ĂȘtre habitable, ils avaient Ă©tĂ© convaincus de l'absence de risque d'inondation du sous-sol, par le fait que le puisard avait Ă©tĂ© obstruĂ© par les vendeurs p. 14, le tribunal supĂ©rieur d'appel a privĂ© sa dĂ©cision de base lĂ©gale au regard de les articles 1641 et 1642 du code civil ; ALORS QUE 3° le vendeur est tenu de la garantie Ă  raison des dĂ©fauts cachĂ©s de la chose vendue qui la rendent impropre Ă  l'usage auquel on la destine, ou qui diminuent tellement cet usage que l'acheteur ne l'aurait pas acquise, ou n'en aurait donnĂ© qu'un moindre prix, s'il les avait connus ; que le vendeur n'est pas tenu des vices apparents et dont l'acheteur a pu se convaincre lui-mĂȘme ; que, pour dĂ©bouter les Ă©poux X... de leur demande d'annulation de la vente pour vice cachĂ©, le tribunal supĂ©rieur d'appel constate que, malgrĂ© les amĂ©nagements dont il avait fait l'objet, le local litigieux n'avait pas perdu sa fonction premiĂšre d'isolation du plancher du rez-de-chaussĂ©e de l'humiditĂ©, par l'installation du puisard qui avait fonctionnĂ© rĂ©guliĂšrement lors des rares Ă©pisodes de fortes pluies 2 fois en 2010 et 2 fois en 2011, pour Ă©vacuer les eaux d'infiltrations avant d'ĂȘtre rebouchĂ© par l'entreprise HELENE & FILS sur demande des Ă©poux Z... arrĂȘt p. 11 ; qu'en statuant ainsi, quand elle constatait que la vente Ă©tait intervenue en 2009, de sorte que la dĂ©cision des consorts Y...-Z...de reboucher le puisard Ă©tait nĂ©cessairement antĂ©rieure Ă  la vente, et que ce dispositif n'Ă©tait donc dĂ©jĂ  plus apte Ă  assurer ses fonctions lorsque les Ă©poux X... ont pris la dĂ©cision d'acquĂ©rir la maison dont le sous-sol Ă©tait suffisamment amĂ©nagĂ© pour ĂȘtre habitable, ce qu'ils soutenaient au demeurant expressĂ©ment dans leurs conclusions en relevant que l'obstruction du puisard les avait confortĂ©s, lors de la vente, dans l'idĂ©e que le local Ă©tait prĂ©servĂ© de tout risque d'inondation p. 14, le tribunal supĂ©rieur d'appel n'a pas tirĂ© les consĂ©quences lĂ©gales de ses propres constatations, et il a violĂ© les articles 1641 et 1642 du code civil ; ALORS QUE 4° le vendeur est tenu de la garantie Ă  raison des dĂ©fauts cachĂ©s de la chose vendue qui la rendent impropre Ă  l'usage auquel on la destine, ou qui diminuent tellement cet usage que l'acheteur ne l'aurait pas acquise, ou n'en aurait donnĂ© qu'un moindre prix, s'il les avait connus ; que le vendeur n'est pas tenu des vices apparents et dont l'acheteur a pu se convaincre lui-mĂȘme ; que le tribunal supĂ©rieur d'appel constate que, nonobstant les amĂ©nagements dont le local litigieux avait fait l'objet par les vendeurs hauteur sous plafond, accĂšs et fenĂȘtres, et amĂ©nagements divers en buanderie, rangements et stockages, les acquĂ©reurs ne pouvaient se mĂ©prendre sur l'affectation du local Ă  titre de vide sanitaire, non habitable, dĂšs lors que ce local, en sous-sol d'une maison situĂ©e dans une rĂ©gion au climat trĂšs rigoureux, Ă©tait dĂ©pourvu de chauffage arrĂȘt p. 13 ; qu'en statuant par de tels motifs, qui ne suffisaient pas Ă  caractĂ©riser la connaissance par les Ă©poux X... du risque d'inondation dans son ampleur et ses consĂ©quences, le tribunal supĂ©rieur d'appel n'a pas donnĂ© de base lĂ©gale Ă  sa dĂ©cision au regard des articles 1641 et 1642 du code civil ; ALORS QUE 5° le vendeur est tenu de la garantie Ă  raison des dĂ©fauts cachĂ©s de la chose vendue qui la rendent impropre Ă  l'usage auquel on la destine, ou qui diminuent tellement cet usage que l'acheteur ne l'aurait pas acquise, ou n'en aurait donnĂ© qu'un moindre prix, s'il les avait connus ; que le vendeur n'est pas tenu des vices apparents et dont l'acheteur a pu se convaincre lui-mĂȘme ; que le tribunal supĂ©rieur d'appel affirme que le risque d'inondation s'Ă©vinçait Ă©galement de la prĂ©sence de traces visibles d'infiltrations dans l'angle nord-ouest du mur du sous-sol jugement, p. 10 ; arrĂȘt p. 14 ; que, cependant, la seule prĂ©sence de traces d'infiltrations ne permet pas de se convaincre de l'existence d'un risque d'inondation du local lors de fortes intempĂ©ries ; qu'en statuant ainsi, pour dĂ©bouter les Ă©poux X... de leur demande d'annulation de la vente pour vice cachĂ©, sans caractĂ©riser la connaissance par les acquĂ©reurs du risque d'inondation dans son ampleur et ses consĂ©quences au jour de la vente, le tribunal supĂ©rieur d'appel n'a pas donnĂ© de base lĂ©gale Ă  sa dĂ©cision au regard des articles 1641 et 1642 du code civil ; ALORS QUE 6° le vendeur est tenu de la garantie Ă  raison des dĂ©fauts cachĂ©s de la chose vendue qui la rendent impropre Ă  l'usage auquel on la destine, ou qui diminuent tellement cet usage que l'acheteur ne l'aurait pas acquise, ou n'en aurait donnĂ© qu'un moindre prix, s'il les avait connus ; que le vendeur n'est pas tenu des vices apparents et dont l'acheteur a pu se convaincre lui-mĂȘme ; que, pour dĂ©bouter les Ă©poux X... de leur demande d'annulation de la vente, le tribunal supĂ©rieur d'appel relĂšve que Monsieur X... Ă©tait un professionnel de la construction immobiliĂšre dans l'archipel de SAINT PIERRE ET MIQUELON jugement, p. 9, de sorte qu'il avait une parfaite connaissance des caractĂ©ristiques du terrain d'assiette de la maison litigieuse, et du risque d'inondation de la zone ; qu'en statuant par de tels motifs, qui ne suffisaient pas Ă  caractĂ©riser la connaissance par les Ă©poux X... du risque d'inondation de la maison acquise dans son ampleur et ses consĂ©quences, le tribunal supĂ©rieur d'appel n'a pas donnĂ© de base lĂ©gale Ă  sa dĂ©cision au regard des articles 1641 et 1642 du code civil ; ALORS QUE 7° le vendeur est tenu de la garantie Ă  raison des dĂ©fauts cachĂ©s de la chose vendue qui la rendent impropre Ă  l'usage auquel on la destine, ou qui diminuent tellement cet usage que l'acheteur ne l'aurait pas acquise, ou n'en aurait donnĂ© qu'un moindre prix, s'il les avait connus ; que le vendeur n'est pas tenu des vices apparents et dont l'acheteur a pu se convaincre lui-mĂȘme ; que, pour dĂ©bouter les Ă©poux X... de leur demande d'annulation de la vente, le tribunal supĂ©rieur d'appel relĂšve que les acquĂ©reurs avaient une parfaite connaissance du risque d'inondation de la zone puisqu'ils Ă©taient propriĂ©taires d'une maison construite sur la parcelle immĂ©diatement contigĂŒe de celle acquise des consorts Y...-Z...jugement, p. 9 ; arrĂȘt p. 12 ; qu'en statuant par de tels motifs, qui ne suffisaient pas Ă  caractĂ©riser la connaissance par les Ă©poux X... du risque d'inondation de la maison acquise dans son ampleur et ses consĂ©quences, les acquĂ©reurs exposant Ă  cet Ă©gard que leur prĂ©cĂ©dente habitation, surĂ©levĂ©e par rapport au terrain et parfaitement Ă©tanche, n'avait jamais subi d'inondation conclusions, p. 13, le tribunal supĂ©rieur d'appel n'a pas donnĂ© de base lĂ©gale Ă  sa dĂ©cision au regard des articles 1641 et 1642 du code civil. SECOND MOYEN DE CASSATION Il est fait grief Ă  l'arrĂȘt attaquĂ© D'AVOIR dĂ©boutĂ© les Ă©poux X... de leurs demandes en annulation de la vente et en paiement de dommages-intĂ©rĂȘts ; AUX MOTIFS QUE Sur l'annulation de la vente intervenue le 13 mai 2009 pour dol les Ă©poux Charles X... soutiennent encore, au visa des articles 1109 et 1116 du code civil que les consorts Y...-Z...ont usĂ© de manƓuvres dolosives pour emporter le consentement des Ă©poux X... ; les articles ainsi visĂ©s disposent que Il n'y a point de consentement valable si le consentement n'a Ă©tĂ© donnĂ© que par erreur ou s'il a Ă©tĂ© extorquĂ© par violence ou surpris par dol », Le dol est une cause de nullitĂ© de la convention lorsque les manƓuvres pratiquĂ©es par l'une des parties sont telles, qu'il est Ă©vident que, sans ces manƓuvres, l'autre partie n'aurait pas contractĂ©./ Il ne se prĂ©sume pas et doit ĂȘtre prouvĂ© » ; les Ă©poux X... allĂšguent que les manƓuvres dolosives des vendeurs et leur volontĂ© de dissimuler aux concluants la rĂ©alitĂ© de la situation rĂ©sident notamment dans le fait qu'ils aient tu les infiltrations d'eau et le caractĂšre non Ă©tanche du sous-sol lors des visites prĂ©alables des lieux, lors de la signature de la vente, mais surtout qu'ils aient volontairement persistĂ© dans leur attitude lorsque les Ă©poux X... se sont manifestĂ©s auprĂšs d'eux pour leur faire part de ladite difficultĂ©, arguant qu'il s'agissait d'un vice cachĂ© dont eux-mĂȘmes ignoraient tout, alors mĂȘme que les opĂ©rations expertales ont permis de mettre en exergue qu'il n'en Ă©tait rien en rĂ©alitĂ©, bien au contraire, ce qu'ils ont finalement reconnu ; ils considĂšrent que les consorts Y...-Z...ont intentionnellement, et en pleine connaissance de cause, cachĂ© aux acquĂ©reurs des informations dĂ©terminantes qui, si elles avaient Ă©tĂ© portĂ©es Ă  leur connaissance, auraient influĂ© sur leur consentement ; [
] en l'espĂšce, il n'est pas contestĂ© aux dĂ©bats que les consorts Y...-Z...n'ont pas informĂ© les acheteurs, avant la vente immobiliĂšre ou au moment de celle-ci, de l'existence d'infiltrations d'eau dans le vide sanitaire amĂ©nagĂ© notamment lors de pĂ©riodes de fortes pluies ; cependant, il y a lieu de rappeler qu'aucun des documents relatifs Ă  la construction litigieuse ne faisait Ă©tat de l'existence d'une surface habitable au niveau N-1 de l'habitation et que, comme cela a Ă©tĂ© rappelĂ© prĂ©cĂ©demment, lors des deux visites de la maison par Monsieur X..., l'isolant recouvrant le mur Nord dans le sous-sol » litigieux Ă©tait dĂ©jĂ  dĂ©posĂ© et rĂ©vĂ©lait l'existence d'une fissures et de traces d'infiltrations, les lieux Ă©tant de plus Ă©quipĂ©s d'un puisard parfaitement visible et Ă©galement examinĂ© par Monsieur X... selon ses propres dĂ©clarations lors du transport sur les lieux paragraphe 2, page 5/ 10 ; il convient encore de rappeler que les Ă©poux X..., propriĂ©taires et occupants de la parcelle contigĂŒe Ă  celle de leurs vendeurs, connaissaient parfaitement au moment de l'acquisition de l'immeuble des Ă©poux Z... la nature du sol sur laquelle elle Ă©tait implantĂ©e terrains inondables lors de fortes prĂ©cipitations en ayant de plus donnĂ© leur accord pour le passage de drains sur leur propriĂ©tĂ© au bĂ©nĂ©fice de la construction litigieuse ; il est de jurisprudence constante que l'existence du dol nĂ©cessite que soit constatĂ© l'existence de manƓuvres destinĂ©es Ă  provoquer une erreur de nature Ă  vicier le consentement du contractant et que la seule constatation du dĂ©faut d'information ne peut suffire Ă  caractĂ©riser le dol par rĂ©ticence si ne s'y ajoute la constatation du caractĂšre intentionnel de ce manquement et d'une erreur dĂ©terminante provoquĂ©e par celui-ci, le dol devant ĂȘtre antĂ©rieur ou concomitant Ă  la conclusion du contrat ; en l'espĂšce, les Ă©poux X..., sur qui pĂšse la charge de rapporter l'existence du dol qu'ils Ă©voquent, ne dĂ©montrent pas l'existence de manƓuvres dolosives de la part des Ă©poux Z..., antĂ©rieurement Ă  la vente immobiliĂšre ou au moment de celle-ci, pas plus que le caractĂšre dĂ©terminant de l'erreur sur l'apprĂ©ciation de l'habitabilitĂ© Ă©ventuelle du niveau N-1 de la construction ; ils seront dĂšs lors dĂ©boutĂ©s de leur demande en annulation de la vente immobiliĂšre sur ce fondement » arrĂȘt pp. 13 et 14 ; ALORS QUE 1° il n'y a point de consentement valable si le consentement a Ă©tĂ© surpris par dol ; que le dol est une cause de nullitĂ© de la convention lorsque les manƓuvres pratiquĂ©es par l'une des parties sont telles, qu'il est Ă©vident que, sans ces manƓuvres, l'autre partie n'aurait pas contractĂ© ; que le tribunal supĂ©rieur d'appel constate que les consorts Y...-Z...n'avaient certes pas informĂ© les acheteurs, avant la vente immobiliĂšre ou au moment de celle-ci, de l'existence d'infiltrations d'eau dans le vide sanitaire amĂ©nagĂ© notamment lors de pĂ©riodes de fortes pluies arrĂȘt p. 13 ; qu'en affirmant toutefois, de maniĂšre pĂ©remptoire, que les Ă©poux X... ne dĂ©montraient pas l'existence de manƓuvres dolosives de la part des Ă©poux Z..., antĂ©rieurement Ă  la vente immobiliĂšre ou au moment de celle-ci, pas plus que le caractĂšre dĂ©terminant de l'erreur sur l'apprĂ©ciation de l'habitabilitĂ© Ă©ventuelle du niveau N-1 de la construction arrĂȘt p. 14, sans rechercher, ainsi que l'y invitaient les Ă©poux X... conclusions, pp. 19 Ă  21, si l'intention dolosive des consorts Y...-Z...ne se manifestait pas prĂ©cisĂ©ment dans le fait qu'ils avaient sciemment omis de mentionner, dans l'acte de vente, le dĂ©faut d'Ă©tanchĂ©itĂ© du sous-sol du bien vendu, dont les vendeurs avaient pourtant une parfaite connaissance, le tribunal supĂ©rieur d'appel a privĂ© sa dĂ©cision de base lĂ©gale au regard des articles 1109 et 1116 du code civil ; ALORS QUE 2° il n'y a point de consentement valable si le consentement a Ă©tĂ© surpris par dol ; que le dol est une cause de nullitĂ© de la convention lorsque les manƓuvres pratiquĂ©es par l'une des parties sont telles, qu'il est Ă©vident que, sans ces manƓuvres, l'autre partie n'aurait pas contractĂ© ; que le tribunal supĂ©rieur d'appel constate qu'aucun document remis aux acheteurs lors de l'acquisition de l'immeuble ne comporte de descriptif dĂ©taillĂ© de la construction, permettant notamment de dĂ©terminer si elle s'Ă©tablissait sur trois niveaux habitables », comprenant le vide sanitaire faisant office de sous-sol arrĂȘt p. 12 ; qu'en se bornant, pour dĂ©bouter les Ă©poux X... de leur demande d'annulation de la vente, Ă  affirmer que les acquĂ©reurs ne dĂ©montraient pas que le caractĂšre dĂ©terminant de l'erreur sur l'apprĂ©ciation de l'habitabilitĂ© Ă©ventuelle du sous-sol, sans rechercher, comme il y Ă©tait expressĂ©ment invitĂ© conclusions des exposants, pp. 6 Ă  9, 16 et 17, si le caractĂšre habitable du sous-sol, attendu par les acheteurs de l'immeuble vendu, ne rĂ©sultait pas nĂ©cessairement, Ă  leurs yeux, et en l'absence de toute prĂ©cision dans les documents contractuels Ă  cet Ă©gard, de la volontĂ© manifeste des vendeurs de proposer Ă  la vente une maison disposant d'un sous-sol habitable, puisqu'ils avaient fait rĂ©aliser une hauteur sous plafond permettant l'habitabilitĂ© contrairement Ă  un vide sanitaire classique, qu'ils avaient agrĂ©mentĂ© le local de deux accĂšs intĂ©rieur et extĂ©rieur et de trois fenĂȘtres, et qu'ils avaient eux-mĂȘmes amĂ©nagĂ© ce sous-sol en buanderie meublĂ©e d'une table et d'Ă©tagĂšres, d'un lave-linge, d'un sĂšche-linge, et d'un rĂ©frigĂ©rateur, en lieu de stockage affaires de pĂȘche, de chasse, de jouets 
 avec des placards, et en une salle de jeux pour les enfants, le tribunal supĂ©rieur d'appel a privĂ© sa dĂ©cision de base lĂ©gale au regard des articles 1109 et 1116 du code civil ; ALORS, EN TOUT ETAT DE CAUSE, QUE 3° il n'y a point de consentement valable si le consentement a Ă©tĂ© surpris par dol ; que le dol est une cause de nullitĂ© de la convention lorsque les manƓuvres pratiquĂ©es par l'une des parties sont telles, qu'il est Ă©vident que, sans ces manƓuvres, l'autre partie n'aurait pas contractĂ© ; que les Ă©poux X... faisaient valoir, dans leurs conclusions pp. 20 et 21, que la maison avait Ă©tĂ© construite en totale infraction avec le permis de construire et qu'ils pouvaient, dĂšs lors, Ă  tout moment ĂȘtre inquiĂ©tĂ©s et ĂȘtre sommĂ©s de se conformer au permis de construire initialement dĂ©livrĂ©, de sorte qu'ils n'auraient nĂ©cessairement pas contractĂ© s'ils avaient Ă©tĂ© informĂ©s de cette infraction au permis de construire ; qu'en Ă©cartant le dol, sans donner aucune rĂ©ponse Ă  ces conclusions opĂ©rantes, le tribunal supĂ©rieur d'appel a violĂ© l'article 455 du code de procĂ©dure L’extension sur pilotis est trĂšs apprĂ©ciĂ©e pour ses avantages pratiques et pour son esthĂ©tisme moderne qui sort de l’ordinaire. Que ce soit pour agrandir votre maison sur un terrain en pente, pour ajouter une piĂšce Ă  l’étage sans toucher au rez-de-chaussĂ©e ou pour augmenter la valeur de votre maison en la sublimant, l’extension montĂ©e sur pilotis est faite pour vous ! Vous souhaitez en savoir plus sur ce type d’extension de maison ? XENA Construction vous explique tout ce que vous devez savoir avant de commencer les rĂ©novations. DĂ©finition d'une extension sur pilotis Une extension sur pilotis est une construction qui s’appuie sur des piliers. Ces poteaux en acier, en bois ou en bĂ©ton soutiennent l’annexe afin qu’elle ne soit pas Ă  mĂȘme le sol. Il s’agit d’une solution idĂ©ale pour agrandir sa maison Ă  l’étage ou pour ajouter une piĂšce Ă  une habitation construite sur un terrain en pente. Cette extension, qui prĂ©sente de nombreux avantages, convient parfaitement Ă  l’amĂ©nagement d’une chambre, d’une salle de jeux ou encore d’un bureau. Avantages d'une extension Ă  l'Ă©tage sur piliers Construction sur un terrain en pente Les terrains en dĂ©nivelĂ© sont difficiles Ă  amĂ©nager. Heureusement, grĂące Ă  l’extension sur piliers, vous pourrez profiter d’une plus grande surface habitable. Avec ses poteaux profondĂ©ment ancrĂ©s dans le sol, votre extension sera bĂątie sur des fondations solides. À lire 4 solutions tendance pour agrandir sa maison avec une chambre PossibilitĂ© d’ajouter une piĂšce Ă  l’étage Vous souhaitez construire une chambre pour bĂ©bĂ© proche de la vĂŽtre ? Vous dĂ©sirez ajouter une salle de bain supplĂ©mentaire Ă  l’étage ? Ou alors, vous avez envie d’agrandir votre chambre pour crĂ©er une suite parentale ? L’annexe sur pilotis rend ces diffĂ©rents types de constructions possibles. Vous pourrez rĂ©nover votre habitation et profiter d’une plus grande surface habitable Ă  l’étage. Quel confort ! Pas de problĂšme d’humiditĂ© Comme votre nouvelle piĂšce sera bĂątie en hauteur, elle sera prĂ©servĂ©e des problĂšmes d’humiditĂ© et d’inondation. Un vĂ©ritable avantage pour les propriĂ©taires belges qui souffrent bien trop souvent de dĂ©gĂąts des eaux Ă  cause des intempĂ©ries. Pas de risque pour la chaise Ă  papy » avec une extension sur pilotis ! ;- Espace libre en dessous de l’extension GrĂące aux piliers, l’espace sous l’extension reste disponible. Si vous disposez d’un petit terrain et que vous souhaitez conserver cet espace libre Ă  l’extĂ©rieur pour les enfants ou un animal de compagnie, ce type d’agrandissement vous conviendra parfaitement. Vous pourrez Ă©galement y amĂ©nager une terrasse couverte pour inviter vos amis Ă  prendre l’apĂ©ro dehors en Ă©tĂ©. Et si vous manquez de place pour garer la voiture, l’espace libre sous l’annexe sera un emplacement adaptĂ© pour un car-port. ModernitĂ© et esthĂ©tisme Les extensions de maison sur pilotis sont apprĂ©ciĂ©es pour leur charme atypique. Tirant son origine des maisons asiatiques construites sur l’eau, ces extensions revisitĂ©es pour plus de modernitĂ© sublimeront votre habitation. L’extension s’adapte Ă  votre terrain et Ă  votre maison sans les dĂ©naturer, tout en ajoutant du cachet Ă  votre construction. Les extensions en bois sur pilotis sont tout particuliĂšrement apprĂ©ciĂ©es pour leur style Ă  la fois traditionnel et contemporain. De plus, grĂące Ă  cette nouvelle construction, vous pourrez profiter d’une vue imprenable sur votre jardin. Le choix des pilotis Pilotis en bois NĂ©cessitent moins de travaux, car ils s’enfoncent facilement dans le sol. AdaptĂ©s aux constructions en bois. AdaptĂ©s Ă  tous types de terrains. Demandent un entretien rĂ©gulier. Pilotis en acier Offrent une solution plus solide et rĂ©sistante que le bois. Doivent ĂȘtre entretenus rĂ©guliĂšrement. Supportent tous types de construction. Pilotis en bĂ©ton Permettent de construire une extension sur un terrain au fort dĂ©nivelĂ©. S’avĂšrent intĂ©ressants pour les terrains meubles ou inondables. Ne nĂ©cessitent pas d’entretien particulier. Demandent plus de travaux. Vous hĂ©sitez sur le type de pilotis adaptĂ© Ă  votre situation ? Ce choix est important et dĂ©pend de diffĂ©rents facteurs urbanistiques. Nos spĂ©cialistes seront ravis de vous aider Ă  trouver la solution adaptĂ©e Ă  vos besoins. LĂ©gislation, dĂ©marches et permis d'urbanisme Pour une construction perchĂ©e sur des pilotis, le permis d’urbanisme est obligatoire. Vous devrez entreprendre des dĂ©marches administratives pour pouvoir bĂątir votre annexe de maison en toute lĂ©galitĂ©. Par ailleurs, vous devrez Ă©galement faire appel Ă  un architecte et rĂ©aliser une Ă©tude du sol. Des dĂ©marches quelque peu fastidieuses, mais nĂ©cessaires ! Avec XENA Construction, zĂ©ro tracas tout votre projet est pris en charge de A Ă  Z. À lire Faut-il un permis d’urbanisme pour construire une annexe de maison sur pilotis en Belgique ? Prix au mĂštre carrĂ© d’une surĂ©lĂ©vation sur pilotis Le prix d’une extension sur pilotis entiĂšrement personnalisĂ©e selon vos besoins se situe entre 2 200 et 2 500 euros au mĂštre carrĂ©. Bien Ă©videmment, ce tarif peut varier en fonction de diffĂ©rents facteurs, comme la superficie de l’annexe, le choix des matĂ©riaux, la structure de la maison existante ou encore les contraintes urbanistiques. Sachez par ailleurs qu’une extension de ce type augmentera la valeur de votre habitation ! Contacter XENA Construction pour un devis sur mesure XENA Construction, leader des annexes en Belgique Vous souhaitez construire une annexe de maison sur pilotis ? Vous l’aurez compris cette extension est idĂ©ale pour les terrains en pente ou pour ajouter un Ă©tage Ă  votre habitation. XENA Construction, entreprise gĂ©nĂ©rale spĂ©cialisĂ©e en annexes de maison en Belgique, vous accompagne dans toutes les Ă©tapes de votre projet de construction des premiers plans jusqu’aux finitions, en passant par les assurances et les dĂ©marches administratives. DĂ©couvrir notre offre All Inclusive d'extension de maison en Wallonie et Ă  Bruxelles Budget maison en bois Pour une maison en bois, il faudra compter entre 60 000 euros et 250 000 euros selon la surface de l’eau. Construire une maison en bois avec un kit Il faudra dĂ©bourser environ 25 000 euros pour un kit de 60m2. Comment contourner permis de construire ?Comment chauffer une maison troglodyte ?VidĂ©o Les 6 meilleures façons de construire une maison troglodyteComment s’appelle une maison sous terre ?Quel type de maison coĂ»te le moins cher ? Comment contourner permis de construire ? Il ne semble pas y avoir de moyen lĂ©gal d’échapper Ă  un permis de construire, sans faute ou erreur
. Jouer avec les mots du code de l’urbanisme. Voir l'article Guide comment construire maison ossature bois. Par consĂ©quent, il est sous permis de construire, À moins qu’il ne relĂšve de la premiĂšre proclamation, S’il n’est pas exempt de la loi en vertu du code de l’urbanisme. Qui a le dernier mot sur le permis de construire ? Bien que le dossier de demande de permis de construire soit organisĂ© selon les rĂšgles, la mairie a un dernier mot concernant la naissance du projet. Comment annuler un permis de construire ? Les permis de construire Ă  compter du 7 janvier 2016 sont soumis Ă  ces nouvelles conditions. De plus, un permis de construire peut ĂȘtre vain si, passĂ© ce dĂ©lai de 3 ans et que les travaux ont dĂ©jĂ  commencĂ©, lesdits travaux sont interrompus plus d’un an. Comment obtenir une dĂ©rogation au PLU ? Conditions requises pour fournir une petite monnaie La diffĂ©rence entre un projet et une rĂšgle de PLU doit ĂȘtre petite, minime, non significative. Des ajustements doivent ĂȘtre apportĂ©s en fonction de la structure du sol, de l’utilisation du sol et de la structure des bĂątiments voisins. Articles populaires VIDEO Les meilleures manieres de rĂ©nover une maison en pierre ASTUCES construire facilement une maison a ossature bois Notre conseil pour rĂ©nover une vieille maison Le Top 6 des meilleurs conseils pour construire une maison de barbie Guide pratique comment rĂ©nover sa maison gratuitement Comment chauffer une maison troglodyte ? Dans ce cas, un chauffage par le sol peut ĂȘtre utilisĂ©, ce qui peut amĂ©liorer les problĂšmes d’humiditĂ© sans trop augmenter la tempĂ©rature. Voir l'article VIDEO 10 conseils pour rĂ©nover un appartement pas cher. Mais il est trĂšs important de veiller Ă  un dĂ©boisement rĂ©gulier sur le toit, car les racines des arbres et des plantes sont un vecteur d’humiditĂ©. Comment isoler une maison troglodyte ? Le but est de crĂ©er une cloison encastrĂ©e, puis de forcer l’air Ă  suivre les deux labyrinthes » entre cette scission et la roche. Une au sous-sol, oĂč l’air expirĂ© circulera pour assĂ©cher le fond de la roche
 Quels sont les avantages des maisons troglodytes ? Avantages et inconvĂ©nients de la maison troglodytique En matiĂšre d’habitat, ces structures uniques acceptent tout changement et soutiennent un mariage rock et moderne. Les maisons troglodytes ont Ă©galement une trĂšs bonne tempĂ©rature, surtout lors des fortes chaleurs. Comment injecter du troglodyte ? Ces ventilations se font en plaçant des tuyaux jusqu’au fond de la cave ; de trĂšs basses tempĂ©ratures sont incorporĂ©es pour permettre d’obtenir plusieurs degrĂ©s nĂ©cessaires et de chauffer l’air inspirĂ© par des revĂȘtements Ă©tanches. Comment s’appelle une maison sous terre ? La maison troglodytique est construite sur le roc, Ă  mĂȘme le sol. A voir aussi Les 6 meilleures façons de construire une maison en carton. L’habitat troglodyte est une structure qui existe dans une variĂ©tĂ© de cultures qui incluent le dĂ©veloppement d’habitats souterrains ou le creusement dans les rochers et les rives des montagnes. Pourquoi la maison est-elle au-dessus des piliers ? Une maison construite sur la source d’eau ou d’humiditĂ© est protĂ©gĂ©e des inondations dues aux pilotis. C’est particuliĂšrement le cas dans les lacs, les riviĂšres et les marĂ©cages, ainsi que dans les plaines inondables. Comment s’appellent les maisons d’argile ? Rammed Earth est une structure monolithique dans la terre verte qui est reliĂ©e par une structure ramifiĂ©e. Le pays est poussiĂ©reux et argileux, mais il y a des structures en bois faites de terre fine. Quel type de maison coĂ»te le moins cher ? Les maisons aux conceptions normales » ne sont pas bon marchĂ© car les Ă©tages supĂ©rieurs sont petits, elles nĂ©cessiteront moins d’équipement et de gros travaux, donc le temps de construction sera rĂ©duit et donc vous coĂ»tera moins d’argent. A voir aussi 10 idĂ©es pour construire sa propre maison. Quel est le bĂątiment le plus cher ? En raison de la construction sĂšche, les maisons en bois sont plus rapides et plus Ă©conomiques que les maisons traditionnelles. Quel type de maison est le moins cher ? Ainsi, une maison mitoyenne a toutes les chances de vous coĂ»ter beaucoup moins cher, car elle nĂ©cessitera moins de matĂ©riaux moins de parpaings, d’isolant, de plaques de plĂątre, de plĂątre, etc. etc. et de personnel.

soutiennent une maison construite sur l eau